Il nâest pas de semaine, en France, sans quâun immigrĂ© dâorigine extra-europĂ©enne se croie autorisĂ© Ă poignarder un « souchien », pas de jour oĂč une Française de race europĂ©enne soit violentĂ©e par de merveilleux envahisseurs exotiques.
Cela, câest la rĂ©alitĂ©, dâailleurs Ă©picĂ©e presque chaque mois de manifestations djihadistes : profanations dâĂ©glises et de cimetiĂšres ; attentats meurtriers. Quant aux manifestations verbales de racisme antiblanc, elles sont pluriquotidiennes, pratiquement non-comptabilisables du fait de leur frĂ©quence.
Or, les statistiques ethniques sont interdites en France ! On ne peut savoir le nombre des citoyens dâorigine extra-europĂ©enne, ni mĂȘme celui des rĂ©sidents Ă©trangers. On ne peut ĂȘtre renseignĂ© sur les composantes ethniques de la population carcĂ©rale. Le fait mĂȘme de parler dâune Ă©vidence â la race â devient un dĂ©lit sâil faut en croire les dĂ©bats surrĂ©alistes de nos brillants dĂ©putĂ©s.
Soit, lâon crie : Au fou ! Et lâon enferme en asile psychiatrique la quasi-totalitĂ© de nos excellences et autres Ă©lus de moindre importance. Soit, lâon se lance dans une vĂ©ritable dĂ©marche citoyenne et lâon exige protection et information.
Payer impĂŽts et taxes Ă la consommation nâa de sens que si, en contrepartie, la sĂ©curitĂ© des personnes et des biens est assurĂ©e. Ce nâest plus le cas en Macronie, oĂč lâon assassine du Français de souche europĂ©enne avec une frĂ©quence qui dĂ©passe tout ce que lâon avait connu.
La presse aux ordres poursuit sa noble tĂąche de dĂ©sinformation, mais les rĂ©seaux sociaux sont lĂ pour tĂ©moigner de lâinsĂ©curitĂ© grandissante en presque toutes les villes de France. Paris aussi bien que Nantes (entre bien dâautres exemples possibles) sont devenues des citĂ©s Ă la fois insalubres dans certains quartiers et infrĂ©quentables, non seulement la nuit, mais aussi de jour. Les dĂ©clarations dâautosatisfaction de leurs mairesses « de gauche » amusent peut-ĂȘtre les badauds, mais le quotidien est moins drĂŽle : on est poignardĂ© Ă Paris pour un oui ou pour un non, et Ă Nantes, les incendies criminels des voyous de lâimmigration ont servi de fĂ©erie urbaine estivale.
Si le « Pouvoir » est incapable dâassurer la protection des citoyens, que GĂ©nial PrĂ©sident Macron fasse appel Ă des Milices citoyennes, il sera exaucĂ©. Lâon comprend bien que le nettoyage de 2 000 citĂ©s de non-droit sera une affaire dâassez longue durĂ©e, mais nous ne manquons ni de chĂŽmeurs ni de retraitĂ©s encore verts qui ne demandent quâĂ ĂȘtre utiles Ă la Nation, en aidant une police surmenĂ©e Ă force de garder les immeubles des beaux quartiers et de verbaliser les automobilistes.
Surtout, il est un point sur lequel lâon doit obtenir satisfaction immĂ©diate : lâinformation exacte sur lâinvasion migratoire qui est une Ă©vidence dâobservation Ă qui circule dans nâimporte quelle ville de France. Aucune restriction Ă lâinformation vĂ©ridique ne peut ĂȘtre tolĂ©rĂ©e dans une DĂ©mocratie. Si Grand PrĂ©sident Macron lâignore, quâil relise ses manuels de Droit constitutionnel.
Ăvidemment, il est plus simple de se pavaner au milieu de foules sĂ©lectionnĂ©es dâadmirateurs, de sourire et de distribuer des baisers Ă de petits enfants dont la sĂ©curitĂ© immĂ©diate nâest pas plus assurĂ©e que lâavenir professionnel.
Il serait bon pour notre Grand Timonier de se remuer, avant que la situation ne devienne explosive.
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