18 août 2018

Les industries françaises et l’islam capitaliste

Par Marie-Simone Poublon

Les industries françaises pactisent avec l’islam capitaliste. Évidemment pas toutes, mais certaines qui rêvent d’un essor économique en voyant arriver de juteux marchés communautaristes. Il faut dire aussi que l’État n’est pas du tout hostile à ces jeux perfides.

cetificat halal

Nous pourrions nous poser la question, que cherchent-ils ? L’argent ? La collaboration pour un nouvel Eldorado ?

Sous couvert de ce qu’on nomme développement durable, ou encore responsabilité sociétale, les entreprises industrielles mettent en avant la mixité. Les campagnes publicitaires appellent à un islamisme conquérant en s’adressant aux femmes et aux enfants musulmans – voilés, pour la circonstance –, vivant en Europe.

Ceci n’est absolument pas un signe d’occidentalisation ! Alors que lorsque nous nous promenons à Abu Dhabi et entrons dans la Grande Mosquée, nous nous voilons. Dans ce sens, le respect me convient bien. Mais chez nous, en Occident, c’est tout le contraire ! L’islam capitaliste empêche toute liberté d’émancipation vers… la pseudo-laïcité. Appelons-la ici, pour l’occasion, la neutralité religieuse. Lorsque la vie sociale est subordonnée à la vie religieuse, il est difficile d’accéder à la neutralité sociale.

C’est en investissant sur l’avenir, c’est-à-dire dans nos industries et dans nos entreprises, en général, que l’islamisation financière gagne du terrain dans nos pays européens. Chaque campagne de publicité, chaque reprise d’entreprise est une trahison des grands capitalistes de nos pays. Ils trahissent notre civilisation judéo-chrétienne, notre identité féminine ou encore la liberté de nos enfants à pouvoir réfléchir par eux-mêmes, notre égalité homme-femme en érigeant la communauté musulmane occidentale comme intérêt financier. C’est le Halal pour le marché agroalimentaire, le voile – voire le burkini – pour les femmes dans les publicités des plus grandes marques de vêtements !

Les industriels de la mode d’aujourd’hui pourraient se comparer aux industriels tant hués durant la IIe Guerre mondiale car ils collaboraient.

L’ennemi est celui qui se joue de la différence dans une nation. Comment les enfants européens peuvent-ils se construire dans ce marketing destructeur qui cultive la différence ? Les enfants comme les adultes sont pris en otage par cet islam capitaliste. Et pourtant, il y a d’autres parents de confession musulmane qui refusent cette différence. Pour eux, qu’en est-il ? De quelle liberté disposent-ils pour vivre autrement ?

Sous couvert de marchés fructueux, ce sont les dogmes qui dominent et qui annihilent toute volonté de liberté et d’émancipation pour préserver prospérité et politique expansionniste.

Les industriels jouent un jeu dangereux que l’État cautionne : réduire la civilisation occidentale chrétienne à néant. Le monde des affaires n’a aucune éthique contrairement à ce qu’il veut faire croire aux consommateurs dans les superbes rapports sociétaux.

La démission des gouvernements successifs sur le sujet, et de celui du Président Macron en particulier, est incompréhensible. Où est l’égalité dans l’aliénation des pensées, un cheval de Troie ici pour les malfaisants qui prêchent le communautarisme dans le mondialisme. Si la différence (le voile) devient « glamour » dans la publicité et que les jeunes demoiselles en font un objet de mode, alors nos valeurs de liberté et d’égalité ne sont plus.

D’autres industries cherchent des repreneurs français ou européens. Là encore ce n’est pas la préférence nationale qui l’emporte, c’est tout le contraire. Nos fleurons industriels et nos entreprises du terroir disparaissent en vertu d’une collaboration avec un islam financier soutenu par l’État.

Après la mode, c’est au tour de l’entreprise Manurhin de disparaître dans ce giron d’islam capitaliste. L’entreprise en redressement judiciaire, fleuron français depuis 1919, fabricants de revolvers de la police nationale, puis de machines de cartoucherie, vient d’être rachetée par le groupe de défense des Émirats Arabes Unis (EDIC – Emirates Defense Industries Company).

Malgré un candidat français, la SAS Odyssée Technologies, créée en 1969, c’est le groupe EDIC qui a été choisi par le tribunal de Mulhouse, prévoyant une reprise des 105 employés sur les 145 au total. Au-delà du critère « emploi », nous pourrions nous interroger sur le pedigree d’un candidat « politiquement correct » dans le rachat d’une entreprise ? Le « made in France » n’est pas à la mode ! Et pourtant tellement d’entreprises réussissent sur ce positionnement stratégique avec quelques bonnes pratiques mises en avant dans leur stratégie sociétale.

Que fait notre gouvernement pour garder nos entreprises ?

Absolument rien ! Le ministre français Bruno le Maire se félicite de la décision du tribunal qui a permis, je cite « de maintenir plus de 100 emplois industriels et de pérenniser un savoir-faire industriel exceptionnel ». On le connaissait ambitieux. Il l’est sans doute en territoire de Macronie pour l’islam capitaliste, mais pas pour la nation française et encore moins pour la civilisation européenne.

Et pourtant, en 2012, il était aux côtés de Nicolas Dupont-Aignan, Marine Le Pen, lors des Assises du « Produire en France » à Reims (51), puis à Paris. Il clamait son attachement au « Made in France » à l’approche du premier tour de la présidentielle. En 2017, il réitérait cette idée, précisant que c’était un choix politique et que les Français étaient des, je cite, « patriotes économiques » !

L’histoire démontre que ces politiques ne conduisent qu’à une seule chose : la guerre. Voici une nouvelle génération de collaborateurs à vomir !

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