3 novembre 2018

La caravane des saints

Par Jérémy Silvares Jeronimo

Tout a commencé par l’appel d’un saint homme ! Fatigué de la pauvreté ambiante dans son pays, il a décidé de lancer un appel à la population. Un appel pour que celle-ci fasse ses bagages et prenne la route vers la terre promise, là où coulent non pas du lait et du miel comme dans la Bible, mais des dollars, des rivières de billets verts.

En lisant ces lignes, certains pourraient croire que je suis en train de citer les premières pages du livre Le Camp des Saints de Jean Raspail. Si tel est le cas, ils se trompent. Car il ne s’agit pas d’une fiction, mais bel et bien de la réalité.

Dans la réalité, le sage homme n’est pas un hindou qui porte un enfant difforme, mais un ex-député hondurien de gauche qui affirme avoir tout juste recopié un post Facebook dont il ne connaît pas l’origine. Dans la réalité, ce ne sont pas un million de pauvres hindous qui prennent d’assaut un millier de bateaux, mais des milliers de Honduriens, Guatémaliens et Salvadoriens qui prennent la route pour essayer d’arriver non pas en Europe, mais aux EUA (États-Unis d’Amérique).

Comme dans le livre de Jean Raspail, nos médias ont su utiliser les bonnes images, de terribles images où l’on peut voir des enfants en pleurs, des grands-mères qui se sentent mal, des familles désespérées…

Qui pourrait ne pas s’émotionner, ne serait-ce qu’un tout petit peu, face à cette misère ? C’est la même chose avec ces migrants qui arrivent en bateau à travers la Méditerranée. Nos médias sont toujours là pour capter l’image qui fera pleurer. Sans jamais présenter les conséquences économiques, sociales et culturelles que l’immigration massive entraîne, conséquences largement occultées aussi par les élites politiques et intellectuelles.

Mais les ressemblances avec Le Camp des Saints s’arrêtent là… car si, dans l’œuvre prophétique, les leaders européens et Américains ne peuvent rien faire contre la migration des populations du Sud de la Planète vers le nord, dans la vie réelle cela n’est vrai que pour l’Europe Occidentale.

Pourquoi ? Parce qu’aux EUA le président s’appelle Donald Trump, et ce cow-boy n’entend pas accepter un seul de ces migrants. Et pour cela, il prétend même faire appel à la puissante US Army pour défendre la frontière. No trespassing, violators will be shot, survivors will be shot again ! (« Entrée interdite. Tir à vue. Les survivants seront achevés »).

« Entrée interdite. Tir à vue. Les survivants seront achevés ». Cette phrase, elle est utilisée à l'extérieur des enceintes militaires américaines, et c'est devenu une blague récurrente sur internet ; d'ailleurs des Américains la mettent devant leurs maisons.

« Entrée interdite. Tir à vue. Les survivants seront achevés ». Cette phrase, elle est utilisée à l’extérieur des enceintes militaires américaines, et c’est devenu une blague récurrente sur internet ; d’ailleurs des Américains la mettent devant leurs maisons.

C’est cette attitude qui devrait nous interpeller, nous autres Européens, cette fermeté dans le leadership du Président Trump comparée à l’attitude permissive de nos leaders. Loin de l’hypocrisie de notre président français qui fustige l’Italie de ne pas recevoir les migrants, mais ne veut pas en recevoir trop non plus, loin de l’hypocrisie du Premier ministre espagnol qui veut tous les recevoir car il sait qu’ils ne resteront pas en Espagne, et surtout très loin de l’attitude de la chancelière allemande Angela Merkel, qui a accepté plus d’un million de « réfugiés » (dont un grand nombre de migrants économiques) il y a trois ans de cela…

Oui, là-bas, de l’autre côté de l’océan, les Américains n’ont pas peur d’agir. Ici, en Europe, c’est une autre histoire. Ici, les politiciens ont abandonné la volonté de défendre les frontières il y a bien longtemps. Ici, maintenant, c’est bel et bien l’histoire du Camp des Saints qui se déroule sous nos yeux.

En espérant que cela ne finisse pas comme dans l’œuvre prophétique de Raspail…

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