En 1958, Michel Debré fut le premier Premier ministre de la Ve République. C’est lui, dit-on, qui rédigea l’intégralité du texte fondateur. Le Conseil constitutionnel veille à ce que nos textes votés par le Parlement soient conformes à cette Constitution. Depuis quelques mois, nous venons de l’évoquer, Laurent Fabius, ancien élu de Normandie, en a la charge. Avant lui, et depuis février 2007, il s’agissait de Jean-Louis […]
Au lendemain de la Grande Guerre, Max Weber (dans le premier tome d’Économie et société, paru de façon posthume en 1922) avait opposé très schématiquement les États modernes, fondés sur des lois et des règlements précis, aux États traditionnels, dits d’Ancien Régime, fondés sur l’organisation en ordres ou castes et leur droit coutumier. Comme toujours chez Weber, la documentation historique était misérable et la réflexion […]
La première circonscription de l’Eure, nous y reviendrons avec l’ancien président du Conseil constitutionnel et ministre de l’Intérieur Jean-Louis Debré, a toujours été, pour la droite, une circonscription « réservée » car favorable (sauf lors de la « vague rose » de 1981). Avant le découpage de Charles Pasqua mis en place pour la première fois lors des élections de 1988, elle fut celle du prince Jean de Broglie […]
Le premier biographe de Charlemagne fut le moine Eginhard. Cet hagiographe écrivit en même temps la légende noire des Mérovingiens et les qualifia de « rois fainéants ». Il n’a pas tort d’insister sur le caractère impérial de Charlemagne. Ce dernier s’est même trouvé une ascendance antique : on le dit descendant d’Astyanax, fils d’Hector et petit-fils de Priam, roi de Troie.
Le premier biographe de Charlemagne fut le moine Eginhard. Cet hagiographe écrivit en même temps la légende noire des Mérovingiens et les qualifia de « rois fainéants ». Il n’a pas tort d’insister sur le caractère impérial de Charlemagne. Ce dernier s’est même trouvé une ascendance antique : on le dit descendant d’Astyanax, fils d’Hector et petit-fils de Priam, roi de Troie.
Sur le parvis de la cathédrale de Paris s’élève une statue massive de Charlemagne. Mais, au fait, qu’est qu’elle fiche là ? N’aurait-elle pas plutôt sa place à Berlin ? En tout cas, les efforts des historiens du XIXe siècle, pour faire de Charlemagne le prédécesseur d’Hugues Capet ou de Guillaume II auraient plongé l’intéressé dans la perplexité.
« Des milliers d’Allemands furent expulsés de leur domicile, emprisonnés dans des camps de fortune, envoyés à pied vers l’Allemagne ou l’Autriche, victimes de nombreuses exactions et massacrés par centaines. Loin d’être spontanées, ces violences étaient voulues et planifiées par le gouvernement tchécoslovaque » Entretien avec Pierre Brouland, auteur de Les Allemands des Sudètes (éditions Dualpha) (Propos recueillis par Fabrice Dutilleul) Qui étaient les Allemands des […]