« L’Ukraine est-elle le berceau des Indo-Européens ? » : c’est la question posée par l’un des paragraphes du livre déjà cité de I. Lebedynsky, qui y répond de manière largement affirmative en évoquant la « théorie des Kourganes » qui est « la plus cohérente et semble adoptée par une majorité de spécialistes » parmi lesquels Marija Gimbutas, dont les travaux sur la protohistoire est-européenne font référence. Rappelons à l’intention de ceux […]
La République d’Ukraine, qui a hérité des limites de la République Socialiste Soviétique (RSS) du même nom, a des frontières communes avec sept autres états : Moldavie, Roumanie, Hongrie, Slovaquie, Pologne, Biélorussie et surtout Russie. Kiev, sa capitale, compte environ 2,6 millions d’habitants, et les autres villes principales sont Kharkov (1,5 M), Dnipropetrovsk (1,5 M), Odessa (1,2M), Donetsk (1,1 M), Lvov (0,8M). Le pays reste malgré tout largement rural.
Avec Philippe le Bel, la royauté va se faire envahissante, brutale, cynique, spoliatrice. C’est ce que Lavisse appelle avec délicatesse : « les progrès de la puissance royale ». Saint Louis avait fait de la justice l’attribut principal de la fonction royale. Mais il ne s’agissait alors que d’une justice subsidiaire : on ne faisait appel à la justice du roi qu’en dernière instance.
Si toute vérité n’est pas toujours bonne à dire, elle est le plus souvent difficile à entendre. C’est sans doute ce qui explique la relégation des pages les moins glorieuses de notre histoire dans les enfers des bibliothèques universitaires. Il en est ainsi par exemple pour celles qui souligneraient les lâchetés du peuple français ou encore attenteraient à certains « actes fondateurs » de notre république. C’est […]
Lavisse écrit que « les progrès de la puissance royale ont été particulièrement marqués sous saint Louis et sous Philippe le Bel ». Mais les moyens diffèrent ! Saint Louis avait fondé le parlement ; Philippe le Bel employa des légistes à son profit. Le premier avait fondé la Cour des comptes ; le second étendit l’emprise du fisc.
« — Je n’ai rien fait d’extraordinaire, il suffisait d’être au bon endroit au bon moment ! — Non, mon Colonel, il fallait aussi le vouloir ! » Philippe de Parseval est l’auteur du livre Nos guerres oubliées aux éditions Dualpha. Propos recueillis par Fabrice Dutilleul. Pourquoi ce livre ? J’ai vécu toute mon enfance dans les ruines de la IIe Guerre Mondiale et mon adolescence a été bercée par […]
par Francis Bergeron. Bien entendu, on sait tout du communisme, de ses crimes, de son projet utopique et mortifère, de ses échecs aussi, de sa quasi-disparition en Europe. On sait tout, mais la mémoire doit être constamment ravivée. Et le centenaire du « communisme réalisé », sous Lénine, puis Staline et les autres, est une bonne occasion de faire notre « devoir de mémoire » à nous.