3 juillet 2024

Quand les joueurs de flûte se muent en apprentis-sorciers

Par Bernard Plouvier

Les millésimes 2020 sq. resteront marqués du sceau de la haine et celle-ci n’est une bonne chose que pour les marchands d’armes et les voyous manipulant les crétins – si l’on préfère, les propagandistes et leur cible préférée les sous-doués et les moyennement doués, deux catégories d’humains qui pèsent lourd, puisqu’ils représentent 75 % des sujets testés dans toutes les études du Quotient Intellectuel (Q.I.) effectuées de 1890 aux années 1970 – après, on n’a plus osé en publier beaucoup !

Après le déchaînement de haine à l’encontre des climato-sceptiques, l’on s’est vigoureusement attaqué à ceux qui osaient dire que la nouvelle covidiose n’était qu’une pandémie assez banale, ne tuant que selon le principe de la sélection naturelle, comme les pandémies de grippe : il ne s’agissait nullement d’une maladie effroyable comme la peste ou le choléra importés d’Asie, ou ces viroses d’origine simiesque inutilement importées d’Afrique.

L’on a aussi connu une recrudescence des haines raciales : parti des USA – ce melting pot qui a dégénéré en pot-pourri –, le mouvement s’est propagé en Europe Occidentale et Scandinave envahie d’Africains et de Moyen-Orientaux. Les émeutes raciales françaises sont une friandise hexagonale que nos merveilleux immigrés nous resservent quand ils « ont les nerfs », mais les Européens des Pays-Bas, de Belgique, de Norvège ou de Suède ont aussi leur lot de festivités son et lumière, un peu coûteuses certes, mais chacun sait que l’Européen est un contribuable fort complaisant.

Un nouvel épisode de haine raciale s’est fait jour en Kanakie – pour un coût modique, estimé entre 1 et 2 milliards d’euros… mais avec notre Génial Président-Dictateur-Général, on a appris à fermer les yeux sur la Dette publique, dont l’hypertrophie restera la « Griffe macronienne ». Sur ce point, au moins, son règne aura marqué la France et pour longtemps. À moins de tenter la fantaisie d’une banqueroute d’État, nos arrière-petits-enfants (ou arrière-petits-neveux dans le cas du Génial PDG qui a bien voulu ne pas se reproduire) paieront encore à la fin du siècle les intérêts composés des fantaisies budgétaires de notre Pharaon qui, à défaut de pyramides, laissera le souvenir de dépenses un peu – oh ! si peu – exagérées.

Nous vivons depuis le second semestre de 2023 les conséquences du énième réchauffement de la haine entre Sionistes et Anti-Sionistes, les chiites s’étant invités au Bal des Maudits, peut-être pour déclencher le « Feu purificateur », de certaines religions où les têtes s’enflamment vite avant de consumer des régions entières ou, pourquoi pas, le globe !

Car une guerre mondiale pourrait résulter du conflit né de la haine qui couvait depuis 2014 aux confins orientaux de l’Ukraine, habilement entretenue par de merveilleux agents de multinationales lorgnant les fabuleuses richesses du sol et du sous-sol ukrainien. Pour l’instant, cette haine n’est parvenue qu’à déclencher une guerre d’usure entre Don et Dniepr, sur des sites bien connus des historiens des années 1941-44. Les élections nord-américaines décideront seules de l’extension ou du règlement diplomatique de ce conflit, où la propagande bat tous les records de désinformation depuis la Guerre d’Espagne (1936-39) – la Seconde Guerre mondiale étant hors-concours : elle restera pour longtemps encore la Somme du Mensonge, faisant rougir de honte ou d’envie les « historiens » de la Révolution française de 1789 sq.

Plus modestement, la France de juin 2024 est le site d’une vigoureuse offensive de haine à l’encontre… des patriotes ! Dans l’histoire humaine, ce n’est pas de l’inédit que de s’attaquer à l’amour de la patrie pour ouvrir le pays « à la diversité », de collaborer avec l’envahisseur. Comme il est curieux que personne chez les bien-pensants ne fasse de relation entre nouveaux et anciens traîtres à la Nation !

Pour assurer la pérennité de la domination sur l’État du clan globalo-mondialiste (les deux adjectifs sont équivalents, même si l’on utilise plutôt le globe en économie et le terme mondialisation pour la propagande), la haine la plus vipérine s’insinue partout – blogs du Net, télévisions « publiques » ou privées, et jusqu’aux salles de spectacle –, mobilisant non seulement les politiciens qui s’accrochent désespérément à leur sinécure dorée, mais aussi toutes les parades – wokistes et LGTB, gaucho-trotskistes, centristes larmoyants, évêques ou imams, et bien sûr les inévitables immigrés bien propres sur eux… car, tout d’un coup, on ne parle plus des 2 000 cités de non-droit, de la came vendue partout « jusque dans nos campagnes », ni même des coups de poignard qui pourtant restent une réalité pluri-hebdomadaire.

Cette agitation et cette haine sont bien sûr justifiées par… Par quoi, au fait ? Au nom du « Peuple Souverain », mais il vient d’exprimer, ce « Souverain », il y a trois semaines son « ras-le-bol » par un score sans appel ? Au nom des valeurs républicaines, mais jamais l’invasion du territoire national n’a été une valeur dans aucun pays ni à aucune époque. Au contraire, la défense est légitime quand des peuplades non-invitées – sauf par un patronat et une classe politique fort « intéressés » – pillent et saccagent, tuent et violent. Car après tout, c’est ce qui se passe en France depuis les fastueuses « années Mitterrand ».

La réalité des faits est devenue telle qu’une majorité d’électeurs a dit Stop ! Halte à la gabegie et au massacre ! Les joueurs de flûte, qui depuis 40 ans ont charmé le « bon peuple de veaux » (expression brevetée gaullienne), se sont donc mués en lanceurs d’alerte, prêchant la pure haine à l’encontre des patriotes.

Pour ceux-ci, il n’existe qu’un seul devoir, une seule mission : décider une majorité d’abstentionnistes (qui ont représenté 48 % des inscrits aux européennes) à s’exprimer.

Le Peuple souverain veut-il encore vivre dans une France européenne ou accepte-t-il de devenir le gentil citoyen globalisé d’une France africano-mahométane ? C’est l’unique question et il serait bon que l’ensemble du corps électoral y réponde une bonne fois… puisqu’aussi bien, jamais, le Peuple Souverain n’a jusqu’ici été consulté par voie référendaire sur l’utilité de l’immigration-invasion.

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