Mollenbeek, haut-lieu bruxellois de l’islam
Après 4 mois de cavale et un nombre ahurissant de perquisitions dans l’équivalent marseillais de la Belgique : Mollenbeek, haut-lieu bruxellois de l’islam, la police a capturé vivant l’un des tueurs de novembre dernier, plus exactement celui qui a poussé d’autres musulmans à tuer, tout en se défilant lui-même.
On savait déjà qu’il s’était débarrassé, dans une poubelle, des pains d’explosifs qu’il transportait dans la folle soirée du 13 novembre et qu’il était rentré en Belgique, grâce à la complicité d’un ou de plusieurs islamistes de Mollenbeek, sa commune natale. On peut imaginer que Salah Abdeslam avait prémédité le délestage de sa ceinture islamique de chasteté, en plein accord avec ses amis musulmans, puisque ceux-ci non seulement ne l’ont pas égorgé, mais sont venus le chercher en France, en dépit de barrages… dont l’efficacité fut, à l’évidence, toute relative.
Depuis cette capture qui ne fut pas trop périlleuse pour les policiers, puisque le djihadiste s’est rendu dès qu’il a été localisé, nos pitres médiatiques rivalisent d’ingéniosité psychologique (en attendant, on peut l’imaginer, de pouvoir interviewer divers psychanalystes bien parisiens) pour expliquer « son geste », « son degré de récupération par la société », « sa résistance au conditionnement islamique », etc.
En fait, précieux et précieuses ridicules de notre société molle et aveulie par une trop longue paix : Salah a poussé d’autres crétins islamiques à s’offrir en Holocauste au dénommé Allah en tuant un maximum « d’infidèles », mais Salah n’était lui-même qu’un lâche.
Et comme tel, il va gazouiller n’importe quoi à ses interrogateurs, leur disant ce qu’ils souhaitent entendre et au besoin ce qu’on lui fera comprendre qu’il a intérêt à dire. Dans quelques mois ou années, une fois levé son isolement, un autre fou d’Allah lui fera la peau, vengeant sans l’avoir voulu les victimes françaises du 13 novembre 2015, puisqu’aussi bien la peine de mort n’existe plus en France.