17 janvier 2019

Les mahométans, « gentils donneurs de leçons de morale »

Par Bernard Plouvier

Strasbourg (l’un des hauts-lieux de la politicaille européenne), soirée du 11 décembre 2018 : un fou furieux se réclamant du sieur Allah tire sur les badauds d’un marché de Noël, en tue 4 et en blesse une douzaine, avant de fuir courageusement.

État Islamique - Daesh

Pas de quoi s’en étonner : c’est l’attentat mahométan de la semaine en Europe. Depuis la proclamation du djihâd par le fou furieux Abou Bakr II en 2014, nous sommes habitués aux actes terroristes de ces fous haineux, d’ailleurs généralement connus des services de police (variante : de nos efficaces services de renseignements).

C’est d’ailleurs le cas de ce tireur : djihadiste répertorié, ayant tâté de 6 mois de prison après une agression terroriste. Il avait écopé de deux ans, mais avec sursis pour la plus grande partie… ce qui est l’équivalent judiciaire d’une invitation à la récidive. C’est fait !

La surprise de l’honnête citoyen ne provient pas du sociopathe assassin, ni de l’absurdité d’un système laxiste, dans lequel des fonctionnaires de l’État font semblant de punir et d’autres ne peuvent rien faire d’utile. Sur ce point, l’alternative est simple : ou on élimine, discrètement mais impitoyablement, les mahométans qui prônent le djihâd dès qu’on les a repérés, ou on cesse de promettre aux Français une « protection » parfaitement illusoire. Tout cela, on le sait depuis 2015.

La surprise – qui n’en est pas une vraie, car l’on avait déjà noté la tendance des jeunes mahométans à excuser les actes terroristes commis par les fous d’Allah – vient d’une réaction à chaud d’un jeune mahométan qui crèche (décembre est le mois idéal pour employer ce verbe !) à Strasbourg. Interrogé par un journaliste de Cnews (la chaîne d’info du groupe Canal+ & Bolloré), et bien qu’il sache le bilan sanglant de son ami, il n’a pas hésité à le présenter comme un barbu « super-gentil, cultivé… un grand-frère toujours prêt à donner des leçons de morale » !

Face à de tels moralistes, il ne reste à la Nation qu’une ressource : passer des revendications fiscales qui mobilisent plusieurs millions de Français, si l’on prend en compte les participants et leurs sympathisants, à la création de milices citoyennes non armées – puisque seuls les voyous peuvent disputer l’exclusivité du port d’arme aux si efficaces forces de l’ordre –, mais d’une vigilance toujours en éveil, composée d’individus rompus aux sports de combat.

La Nation n’a rien à attendre des politiciens, fort peu des juges, à peine plus des policiers, surmenés à force de verbaliser sur les routes et de tenter de maîtriser ces casseurs encouragés par de curieux personnages – qui ne viennent pas de cette « droite extrême » dont on nous rebat les oreilles. La Nation doit légitimement se méfier des mahométans qui évoquent favorablement le djihâd ou prennent des assassins pour des héros.

Il est urgent d’exiger de nos princes inefficaces la tenue d’un referendum sur l’immigration extra-européenne et sur la liberté de culte sur le sol français pour les individus qui prônent l’imposition de la charî’a. La France a instauré, en 1905, une absolue séparation des Églises et de l’État. Même si le culte mahométan est financé par des millions de pétrodollars, seuls des corrompus peuvent accepter ses débordements.

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