L’Europe actuelle ou le Libéralisme sans Force
Même un écrivain d’histoire spécialisé dans l’étude du Reich maudit peut apprécier de vivre dans un régime de liberté(s)… surtout si la liberté d’expression de la pensée est comprise dans le paquet-cadeau libéral !
Toutefois, l’actualité nous démontre que l’État libéral en France est vicieux : durs envers les patriotes et lâche, par veulerie probablement induite par des raisons économiques ou financières, avec les fous furieux inutilement et illégalement importés par millions.
Et cette absurde dualité domine la vie publique depuis l’année 2014 (les premiers attentats djihadistes en France ont débuté cette année-là, de façon « artisanale », soit au coup par coup, à Joué-lès-Tours et à Perpignan) jusqu’à nos tristes jours de Français (très mal) « dirigés » par Macron-le dépassé par les événements, après Hollande-le Bouddha nul !
À l’évidence, pour les « diriger », les électeurs français choisissent les « meilleurs » ! Plus exactement – tandis qu’un tiers des citoyens se dérobe constamment à son devoir d’expression – entre 35 et 40 % de l’électorat optent pour les plus gros démagogues, ceux qui sont prosternés devant la toute-puissance des maîtres de l’économie US qui commandent la politique impérialiste des USA, donc la pseudo-politique de l’Europe des Économies Unies… qui ressemble tant au « chien crevé voguant au fil de l’eau. »
Soit l’expression usitée en France durant les années 1924-40 pour conspuer les gouvernants soi-disant français qui, par snobisme ou par intérêt, avaient mis la politique extérieure française à la remorque du Foreign Office. Il en résulta la très utile Guerre pour empêcher les Allemands de reprendre Dantzig alors peuplée à 97 % d’Allemands !
2022 restera un grand cru de la nullité de l’État soi-disant français. Après les émeutes des Marocains à propos d’une coupe du monde de football perdue aussi bien par l’équipe de France que par celle du Maroc, après les « tensions » à Montpellier entre Maghrébins et Gitans (ou Roms ou Tziganes, comme on voudra), les assassinats de 3 Kurdes par un dément (enfin placé en hôpital psychiatrique, où il sera réduit à l’état de légume inoffensif par un subtil mélange de neuroleptique et d’antipsychotique) ont déclenché des émeutes avec d’énormes saccages aveugles & les traditionnels incendies perpétrés par des Kurdes enragés… d’où une cinquantaine de policiers blessés à Paris et à Marseille, les 23 et 24 décembre.
Le Libéralisme mou – façon Europe castrée depuis les années 1960 –, c’est l’addition de la Faiblesse et de la Vulnérabilité. Le tout profitant aux immigrés-envahisseurs violents, agressifs, racistes anti-Blancs (en souvenir d’une colonisation qui les a fait passer de la préhistoire – Afrique centrale, Antilles et Océanie – ou du Moyen Âge – Maghreb et Moyen-Orient – aux jouissances et aux nécessités du monde industrialisé et aux bienfaits des techniques contemporaines.
Le Libéralisme à l’européenne est vulnérable aux primitifs violents : non seulement en France – on peut ajouter Rennes et Nantes au palmarès des villes devenues dangereuses, après le triangle maudit Lille-Roubaix-Tourcoing, les cités de non-droit du Nord-Est de la région parisienne ou de la zone Lyon-Saint-Étienne etc. –, mais aussi en Belgique, en Norvège ou en Suède, pour ne même pas parler de la Grande-Bretagne où les émeutes raciales ont débuté dans les années 1970.
Le féminisme qui a envahi notre société en a fait un monde absurde : repentance idiote, car reportée sur des générations innocentes ; délire sur le « genre choisi » et souvent variable au cours d’une vie mouvementée et fort peu harmonieuse – le tout repris des théories folles d’Otto Weininger, concurrent de l’autre cinglé de Vienne, le Sigismond Freud (Weininger était un schizophrène qui s’est suicidé dans sa 23e année et Freud un paranoïaque pervers sexuel, engendré par deux parents détraqués sexuels incestueux) ; léchage de bottes des activistes noirs dont le racisme, réactionnel à celui des Blancs, est une évidence depuis les années 1920 (mais qui connaît Marcus Garvey dans notre France de sous-alimentés culturels ?) ; transformation des criminels en « victimes de la société » (alors que les plus dangereux d’entre eux devraient logiquement être exécutés) ; promotion publique de l’homosexualité (alors que la sexualité est une affaire intime entre adultes consentants) et prostitution de la notion de mariage et d’éducation des enfant… et la liste des ravages de la féminisation de l’Occident est loin d’être exhaustive.
Le plus cocasse est que nos féministes et leurs collaborateurs soi-disant mâles souffriront beaucoup lorsque la charî’a règnera (temporairement) sur l’Europe occidentale tiers-mondisée !
Le féminisme a surtout retenti sur les États libéraux en les privant des lois fondamentales assurant la Sécurité intérieure et extérieure. Or ces lois de Sécurité sont les premières justifications de l’État et de ce qui l’alimente : le produit des impôts et des taxes. Un État qui ne peut ou ne veut plus protéger ses citoyens – dans leurs personnes et dans leurs biens légalement acquis – est illégitime. C’est un pseudo-État, une carcasse qui fonctionne à vide.
Le paradoxe d’un État coûteux et nul résulte de la veulerie de l’électorat. Car il n’y a que deux façons de lutter contre un régime nul et corrompu : ou on se révolte ou on prend légalement – grâce à des élections triomphales – le contrôle de l’État.
En effet, seuls le corps électoral doit prendre les décisions graves, celles qui engagent la survie à moyen terme de l’État et de la Nation : peine de mort pour les assassins ; immigration en provenance d’autres continents, en se souvenant des expériences des USA, du Mexique et du Brésil qui démontrent que toute société multi-raciale est une société multi-raciste ; interdiction du droit de grève pour les agents de la fonction publique – qui sont, par définition, des employés au service des contribuables ; durée légale du travail – et la notion de pénibilité n’est qu’un faux-semblant, car nul n’a jamais été obligé en régime libéral de faire tel ou tel métier : en le choisissant, on entre dans tous les devoirs et bénéfices induits par son métier.
Il est plus que temps d’exiger des plébiscites sur les grands sujets de société et de rendre à la Force publique sa puissance. Un véritable État ne peut tolérer des émeutiers violents ; les policiers n’ont pas à être exposés, impuissants, à la colère d’immigrés que nul citoyen – sauf quelques patrons esclavagistes – n’a appelé de ses vœux, surtout en telles quantités. Un policier sur lequel on tire à balles réelles ou que l’on menace d’une arme létale a le droit de neutraliser son assaillant, quitte à le tuer : il représente la Force Légitime face à la violence illégitime.
La France – et d’une manière générale l’Europe Occidentale – n’a pas à devenir le dépotoir d’un Tiers-Monde incapable de régler sa pollution démographique. Même le droit d’asile doit être revu : accordé au coup par coup et uniquement à des personnes qui acceptent de travailler utilement pour la société d’accueil, qui s’engagent à respecter toutes les lois et à éduquer leurs rejetons dans le respect des valeurs et des lois du pays de refuge – toujours provisoire et révocable si le sujet recueilli ou ses rejetons s’avèrent indignes.
La direction de l’État ne doit plus être confiée à des capons ou à des affairistes !
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