17 novembre 2022

Le pape marche à côté de ses mules !

Par Jean-Claude Rolinat

Une fois de plus, une fois de trop, le pape François – qui n’a rien à voir avec notre gaillard souverain de la Renaissance ! – marche à côté de ses mules, si je puis dire… Les norias de bateaux chargés de « migrants » qui vont volontairement chercher les candidats africains à l’exil – aux limites des eaux territoriales libyennes – recueillent toute sa sollicitude, toute son attention. Le souverain pontife vient de déclarer, encore et encore, qu’il faut recevoir ces personnes en difficultés et les répartir entre « riches » pays européens.

François 1er et Darmanin, même combat ?

Un « rigolo », au moins l’a entendu. C’est l’inénarrable Darmanin, ministre français de l’intérieur – lequel fait sans cesse référence à la mémoire de son grand-père maghrébin – qui, tout en reconnaissant qu’il faut exécuter les OQTF, déclare tout de go qu’il faut non seulement recevoir ces gens-là, et prendre sa charge du « fardeau » selon les vœux du pape, mais pourvoir les emplois désertés par la main-d’œuvre française. On pourrait d’ailleurs se poser la question : pourquoi nombre de postes de travail ne trouvent-ils pas preneurs ? Les salaires et les conditions de travail ? Sans aucun doute. En allant dans cette direction, il entend répondre à l’appel d’un certain patronat – plus « négrier » que capitaliste ! – en ouvrant la porte à une immigration légale pour certaines professions en déshérence… En fait, Monsieur Darmanin veut, sans le dire, ajouter de l’immigration légale à une immigration illégale, laquelle encombre nos villes, avant que son patron ne la vaporise dans nos bourgs et villages.

Le cardinal Sarah, la voix qui exprime la juste voie

Un homme d’Église dans la haute hiérarchie vaticane n’est pas sur la même ligne que François. Il s’agit du cardinal guinéen Sarah qui, en toute bonne foi et à l’évidence, a reconnu que l’arrachement des Africains à leur continent n’était pas une bonne solution. Et que mieux vaudrait réussir à fixer les populations sur leur sol natal, que les encourager à de scabreuses aventures où ils risquent leurs vies. L’électrification des villages et des points d’eau accessibles aux populations, voilà une mise de fonds intéressante pour l’Europe, avec retour sur investissement, au lieu de nourrir des potentats à fonds perdus !

Un seul slogan, « No Way » !

Hier et jadis, dans la brousse, le tam-tam servait de moyen de communication. Aujourd’hui, les Africains ont à leur disposition la radio, la télévision, internet et les portables… Ils voient comment vivent les Européens et s’imaginent que, sans efforts, ils pourront atteindre le même niveau de vie. Il faut obscurcir et étouffer ce leurre, remettre les pendules à l’heure : les clandestins n’ont pas d’avenir chez nous. « No Way », comme disent, à juste titre, les Australiens. À moins de survivre en commettant, ici ou là, de menus larcins, comme l’ancien préfet de police Didier Lallement lui-même, le reconnaissait dans son dernier ouvrage L’ordre nécessaire, chez Robert Laffont.

Meloni a-t-elle capitulé ?

La Première ministre italienne, étiquetée « d’extrême-droite » par toute la bien-pensance européenne, dame Georgia Meloni de Fratteli d’Italia, a déjà cédé partiellement aux pressions. Elle a accepté, elle et Salvini, le débarquement à Catane en Sicile, depuis les navires affrétés notamment par Soros, de femmes et d’enfants africains, laissant à bord les seuls demandeurs d’asile masculins. Pour combien de temps ? Afin de complaire à la Commission européenne ou, plus sûrement, pour bien recevoir un « pognon de dingue » que « notre sœur latine » espère engranger en provenance de l’Union européenne ?

Des Callac à la puissance dix ?

Peut-on espérer encore quelque chose du futur débat parlementaire sur ce sujet promis par l’exécutif ? Les oppositions – à front renversé, bien sûr – mêleront-elles leurs bulletins de vote, pour repousser les ineptes projets de lois de Darmanin ? Réponse dans un futur proche. D’ici là, ne baissons pas les bras car, devant nous, nous allons avoir un, cent, mille Callac !

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