17 février 2020

Le droit au Blasphème

Par admin

Ce matin 5 février, les bonimenteurs de la télé nous ont annoncé avec un soupçon d’étonnement dans le ton qu’un sondage venait de démontrer que 50 % des Français se déclaraient hostiles au « droit au Blasphème » qui avait semblé une victoire remportée par tous les insulteurs du christianisme. Il faut dire qu’à ce sujet, les autorités macronistes n’avaient pas consulté les citoyens pour que les insultes soient sacralisées par la loi. Mais la cochonnerie des sectes laïcistes avait paru s’imposer comme une évidence des progrès républicains.

La récente affaire sur ce débat aurait débuté parce qu’une jeune fille homosexuelle, dit-on – ce qui n’a rien à voir avec l’affaire – nommée Mila, importunée par de jeunes maghrébins en mal de braguette, leur aurait jeté à la face : « Le Coran est une religion de haine. L’Islam c’est de la merde. Votre Dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul ! »

Évidemment, la menace aussi particulière que culière était grave, et l’on comprend que les jeunes coraniques aient vu rouge et se soient indignés du doigt profanateur. Ils auraient donc, soutenus par quelques aînés mahométans, proféré des menaces de mort, ce qui a obligé la police à intervenir pour protéger celle qui avait usé de son droit au blasphème, encore que ce « droit » n’est pas encore légalisé. Ce qui fait qu’il n’est pas un droit !

En fait, il y a confusion dans la définition du blasphème. Le blasphème est tenu pour une insulte, alors qu’il est très souvent une calomnie, c’est-à-dire un mensonge dans l’invective.

Par exemple, lorsqu’un « chansonnier » de France Inter, qualifié d’« humoriste » par les médias du régime, chante « Jésus est pédé… pourquoi l’avoir pas enculé ? », il ne blasphème pas seulement, mais il calomnie, car il n’est pas une seule ligne dans les écritures qui puisse faire supposer cette abomination, et en principe, le mensonge à ce degré de saloperie tombe sous le coup de la loi. Bien sûr, devant la levée de boucliers, l’humoriste qui est un enfant du régime, s’est excusé, mais si sa petite saleté avait eu quelque succès, il en aurait fait de l’argent !

L’écolière Mila n’a fait qu’exprimer son sentiment sur la religion coranique qui tue par haine celui qui n’est pas conforme aux ordres du Coran. Après avoir vu les prisonniers de Daech égorgés et décapités, ou bien mis en broche pour prolonger leur supplice, les femmes vitriolées et lapidées après avoir été tenues pour des créatures de second ordre, que des hommes puissent affirmer que l’Islam est une religion de paix et d’amour, mesure la parole du Christ sur « un monde qui gît au pouvoir du Mauvais ! »

Et qu’un Pape puisse contredire ainsi la tradition de l’Église et rejoindre la racaille qui s’avance sous la défroque de l’humanisme de Caïn, mériterait d’une nation chrétienne la rupture des relations diplomatiques avec Rome, car on ne peut échapper au sentiment que les temps soient venus, ou, selon notre Dame de la Salette, « Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist ! ».

Il est des religions non chrétiennes qui ont plus ou moins gardé la certitude d’un Dieu créateur et sauveur. Il en est, comme le Bouddhisme, le Mazdéisme ou même le Shintoïsme qui ne projettent pas le crime, comme le fait l’islamisme, car le Coran ignore totalement le mot Amour.

En général, les cultes sanglants de l’antiquité, dédiés aux Baals, Tanit, Molok, Dagon, au Moyen-Orient, et aux Huitzipotchli amérindiens, ont disparu avec le christianisme.

Huitzilopochtli, Mexico...

Huitzilopochtli, Mexico…

Jusqu’à nos jours, la secte hindouiste des « Thugs » étrangleurs à peut-être subsisté. Mais aujourd’hui, c’est l’Islam qui a conservé la pratique du meurtre religieux, comme l’héritage du « Vieux de la montagne » dont les fidèles meurtriers du XIe au XIIIe siècle furent nommés « Haschischins », d’où nous avons tiré le mot « assassins » !

Et quelle que soit la croyance ou l’incroyance de l’écolière Mila, c’est justement qu’elle a traité cette religion, ennemie de toute autre. Et tout régime qui n’en réprime pas la violence et le racisme génétique envers les femmes, en devient complice. Ainsi, l’indulgence dont font preuve certains tribunaux face aux djihadistes encourage le crime qui peut être toléré, hélas !, par la démocratie laïciste, car dans cette institution, la loi du nombre prévaut sur la morale, et 10 assassins peuvent faire la loi sur 9 pacifistes !

Je crois avoir déjà dit qu’un haut personnage du Consistoire juif de France, m’avait exposé ce à quoi j’adhère pleinement, soit : « La démocratie ne peut s’exercer que dans le cadre du décalogue ! »

C’est-à-dire que si la démocratie n’est pas morale, elle n’est pas !

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24  99

Partager :