Le commencement de la fin…
Plus les rouages d’une société se compliquent et plus les grains de sable ont des occasions de s’y glisser et de bloquer la machine. Je pense que nous en arrivons là, dans l’indifférence populaire ! Car presque toutes nos institutions tendent à bêtifier notre peuple : Il n’est que de consulter les programmes de nos médias télévisés !
Plus que les prophéties religieuses qui, depuis 150 ans, nous préviennent des conséquences de l’abrutissement national, d’autres avertissements nous sont donnés par la certitude qu’ont nos adversaires d’avoir émasculé le peuple.
En 1996 Viviane Forester publiait L’horreur économique qui eut d’autant plus de succès que l’auteur appartenait plutôt à « l’intelligentsia » régimiste. L’ouvrage démontrait avec une grande rigueur que la poursuite du progrès libéral rendrait de plus en plus inutile les travailleurs manuels, et même intellectuels, que remplaceraient l’automatisation et la robotisation.
Dans le même temps, les prédateurs yankees n’hésitaient pas à définir que, dans la société idéale, il serait nécessaire de supprimer les 9/10e de l’humanité afin que pût profiter, sans le danger d’une insurrection populaire, l’élite de la société.
Cette élite avait été définie par David Rockefeller comme étant celle des banquiers mondiaux, et à cette occasion, le président Mitterrand, qui n’avait pas voulu se salir les mains, avait fait remettre la légion d’honneur à ce patron de la finance par Monsieur Giscard d’Estaing qui n’en n’était pas à une sottise près.
Depuis, près d’un milliard de terriens meurent de faim tandis que l’on ouvre des restaurants pour les chiens et les chats de l’élite…
Or, avec Comment tout peut s’effondrer, Pablo Sévigné, et Raphaël Stevens, semblent prendre la suite de Forester, en démontrant que l’effondrement de la société peut survenir sans délais. Ils considèrent comme tout à fait utopiques ceux qui croient que la société peut continuer « comme avant ! », c’est-à-dire celle où nos dirigeants sont honorablement payés pour mettre le pays en faillite !
On peut considérer que les grandes messes footballesques, les ruées vacancières vers d’autres lieux d’exploitation, les rituels des marches blanches qui donnent bonne conscience, et le refus de traiter l’afflux des indésirables comme une invasion, sont les éléments qui font oublier une réalité redoutable, alors qu’en fait notre époque semble reproduire les vices de la société antédiluvienne, ou la terre malmenée parut se venger terriblement des hommes.
Et bien sûr, lors de ce lointain événement, personne n’avait cru que leur société pouvait périr. C’est du moins ce que dit l’Évangile…
Le pic de chaleur qui a frôlé les 46° avec une soixantaine de départs de feu aussi mystérieux que l’incendie de Notre-Dame m’a fait penser au quatrain dans lequel Nostradamus prédit une telle canicule, que les poissons eux-mêmes cuiront dans la mer devenue brûlante !
Pendant ce temps, la fausse écologie républicaine ne persiste que dans l’erreur et le mensonge : les loups dévorent de plus en plus les moutons, mais le Système accuse des « chiens errants » que nul n’a vus, pour ne pas revenir sur sa bêtise !
Les vautours en surnombre attaquent et mettent à mort les vaches parturientes et dévorent les veaux nouveau-nés : c’est qu’après avoir encouragé leur multiplication pour le plaisir des touristes, on ne les nourrit point, de sorte que par nécessité, les charognards deviennent des rapaces !
Par l’introduction, dans nos rivières d’espèces dites « nobles » et prédatrices, on a pratiquement fait disparaître vairons, goujons et loches qui faisaient les délices des riverains il y a 50 ans !
Par l’oubli des « échelles à poissons » dans l’établissement des lacs, on a stoppé la remontée des piballes, et donc stérilisé des anguilles, les eaux où elles devenaient adultes !
Nous sommes en pleine confusion des nécessités ! Et pour prouver qu’il est à l’aise dans ce climat, Monsieur Macron remet la même Légion d’Honneur au soldat qui a donné sa vie au service de la France, et à un chanteur britannique qui n’a jamais risqué que le Sida…
Depuis quelques jours, j’attends des précisions sur ce que l’on nous a appris de l’attaque d’un commissariat de police par une forte troupe d’assaillants cagoulés. Depuis cette brève annonce, les médias sont muets sur cela qui est important puisqu’il s’agit de toute évidence d’un acte de guerre !
De quelle guerre s’agit-il ?
De celle qu’ont initiée les casseurs en marge des manifestations des gilets jaunes, et contre lesquels les policiers n’ont pas sévi ? De celle encore à l’essai des djihadistes pour expérimenter la guerre sainte ?
Il me semble que ces précisions eussent été plus utiles que la répétition des degrés de la canicule. Mais il faut se souvenir que Sarkozy avait inauguré lors de l’attaque d’un commissariat palois l’héroïsme policier de la honte qui consiste à ne pas riposter lorsque la chienlit montre qu’elle est en pays conquis.
Moi je souhaite qu’un jour, les policiers ressemblent au soldat que j’ai été avec d’autres volontaires avec qui je montais à l’assaut sans avoir d’autres états d’âme que l’idéal de faire mon devoir. Mais Il est vrai que cela pourrait donner à nos policiers des idées inquiétantes sur l’ennemi.
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