18 août 2016
Les mots sont les armes chocs de la guerre révolutionnaire
Pour Emil Cioran « on n’habite pas un pays, on habite une langue. » Ce constat peut paraître paradoxal pour un étranger qui n’écrivait plus qu’en français depuis 1949. Il n’est pas anodin : dans la Roumanie communiste, le philosophe ne se sentait plus chez lui.
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