De l’information à la propagande
Le très félin bruxellois Geluck se livre souvent à des confidences faussement naïves. Il en est une qui devrait être épinglée dans les salles de rédaction des médias officiels : « Le passé m’effraie, l’avenir me fait peur, heureusement qu’il y a le présent. » Hier, pour Sartre, il ne fallait pas désespérer Billancourt, aujourd’hui, pour les rédacteurs en chef, il ne faut pas alarmer le téléspectateur. Dès […]
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