L’État, c’est moi
L’histoire de France présente toujours les ennemis du roi et, en l’occurrence, ceux de Richelieu, comme des traîtres. On oublie toujours que les « complots » (car toute opposition est séditieuse) ont parfois d’autres motifs que l’intérêt, la bêtise et la méchanceté. Trois « qualités » dont les souverains ne sont, du reste, pas exempts.
Lire la suite