Vive la conduite de nuit !
La future loi gouvernementale sur les mobilités entend résoudre l’enfer de la circulation en milieu urbain avec notamment la mise en place de péages urbains.
Elisabeth Borne, ministre des Transports, explique ainsi aux Échos qu’« aujourd’hui, la loi donne déjà cette possibilité aux collectivités locales, mais seulement à titre expérimental et pour trois ans, ce qui est trop court au vu des investissements à consentir. Il faut y remédier… »
Pierre Chasseray, délégué général de l’association 40 Millions d’automobilistes, fait quant à lui remarquer qu’« on sait pertinemment que certains usagers ne peuvent pas se passer de voiture. Donc on va créer une ségrégation entre ceux qui auront les moyens de s’acquitter du péage et pourront continuer à se déplacer sans encombre, et ceux pour qui cette taxe supplémentaire sera celle de trop. »
Sans doute pour ne pas avoir trop l’air de rançonner encore davantage les automobilistes, le gouvernement laisse entendre que cette mesure ne passera pas forcément par la création d’un nouveau prélèvement : plutôt par la création d’un « péage inversé » , soit le versement d’incitations financières à ceux qui acceptent de circuler hors des heures de pointe.
Le souci est que les heures de pointe sont désormais aussi fluctuantes qu’en augmentation constante en agglomération urbaine… sauf peut-être entre 1 heure et 5 heures avant que « la ville s’éveille », comme le chantait déjà si bien Jacques Dutronc de Paris… en 1968 !
Vive donc la conduite de nuit !
Sans doute pour ne pas avoir trop l’air de rançonner encore davantage les automobilistes, le gouvernement laisse entendre que cette mesure ne passera pas forcément par la création d’un nouveau prélèvement : plutôt par la création d’un « péage inversé » , soit le versement d’incitations financières à ceux qui acceptent de circuler hors des heures de pointe.
Le souci est que les heures de pointe sont désormais aussi fluctuantes qu’en augmentation constante en agglomération urbaine… sauf peut-être entre 1 heure et 5 heures avant que « la ville s’éveille », comme le chantait déjà si bien Jacques Dutronc de Paris… en 1968 !
Vive donc la conduite de nuit !
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