Végans vs écolos
La Cour supérieure du Québec – l’un des plus hauts tribunaux du Québec – vient d’interdir aux militants du groupe antispéciste Direct Action Everywhere de se trouver à moins de 500 mètres d’un bâtiment agricole, tandis qu’un séminaire en ligne « pour apprendre à ses membres comment se défendre contre l’intimidation et les actions illégales des activistes végans » a été créé par l’Union des producteur agricoles.
Par ailleurs, à Montréal, le célèbre restaurant Manitoba, a vu sa serrure mise hors service par de la colle et un message d’intimidation a été laissé à l’intention de ses employés, accusés de collaborer avec les « crimes » du Chef qui « aurait du sang sur les mains. »
Un vocabulaire de guerre civile…
Mais va-t-on voir bientôt réagir les écologistes au crétinisme végan ? Car lorsque, le 7 décembre 2019, une dizaine d’activistes ont occupé illégalement une porcherie de la région de la Montérégie, dans l’ouest de la Belle Province, ils ont « mis en péril la santé des bêtes, a-t-on appris par la suite, car les mesures élémentaires d’hygiène et de biosécurité n’avaient pas été respectées », nous apprend le site sputniknews.
« Les végans (…) sont peu conscients du fait que l’agriculture – par sa nature réelle – est un écosystème dont on ne peut isoler les aspects végétaux et animaux, ne serait-ce que pour le besoin de fumier fertilisant et le besoin d’assurer des rotations de culture », rappelle M. Bouchard, auteur de plusieurs livres sur la question écologique et agricole… et qui constate également que les végans sont les complices du mondialisme le plus dément : « De même, on se rend compte que le véganisme entre facilement en conflit avec la production locale biologique : on préfère importer des noix ou des laits de coco produits industriellement ailleurs que d’acheter des produits locaux bio. En d’autres mots, il y a beaucoup de contradiction et d’ignorance dans ce discours. »
Un végan est-il donc plus « bête que méchant » ou plus « méchant que bête » ? That is the (new) question…
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