10 avril 2019

Ce soir il me vient une idée…

Par Euro Libertes

Je viens de feuilleter l’excellent « hors-série » de Valeurs Actuelles consacré à la Révolution française. L’ami Arnaud Folch qui l’a concocté est décidément un authentique « nettoyeur haute pression » des idées reçues. Le plus souvent celles-ci recouvrent d’un crépi grossier, des vérités dérangeantes, désormais interdites au grand public au nom d’une raison d’État pour le moins ambiguë.

Curieusement la première citation livrée à la rumination du lecteur émane du sulfureux Jacques Vergès, défenseur de causes réputées les moins défendables : « Le procès de Louis XVI est le premier procès en sorcellerie de l’ère moderne. Les procès de Moscou, dans les années 1930, le procès de Riom en 1942, celui du maréchal Pétain en 1945, en sont issus. »

Procès en sorcellerie ! Qui dit sorcellerie dit sorcier. Qui dit sorcier dit jeteur de sort.

Ma seule expérience dans ce domaine remonte à mon enfance alors que je fréquentais, bien malgré moi, ces sorcières qui hantaient les châteaux de malheureuses princesses, héroïnes de ces contes bizarrement dits pour enfants.

Il me vient une idée… puérile, j’en conviens ? Non, je ne vous en dirai rien… Vous me ririez au nez et Philippe Randa m’enverrait aussitôt dans un de ces EHPAD effrayants qui font l’actualité.

Quoi, j’en ai déjà trop dit… Vous m’assurez de votre indulgence… Alors dans ces conditions…

Souvenez-vous de la Belle au Bois Dormant, du fuseau piégé, et de la piqûre qui plonge la douce enfant dans un sommeil mortel. Vous ne trouvez pas quelque analogie avec l’état actuel de la France dont la profonde léthargie est néanmoins secouée par quelques soubresauts désordonnés ? Spasmes nerveux ? Impulsions déclenchées artificiellement pour donner une illusion de vie ?

Dans notre histoire, si l’on y réfléchit bien, ce maléfice qui nous frappe n’est pas né de l’esprit tordu d’un jeteur de sort paranoïaque mais des expériences incontrôlées d’apprentis-sorciers convaincus d’être détenteurs de ces lumières extraterrestres dont les bienfaits, remis sans cesse au lendemain, ne devraient pas manquer d’éclairer le monde. Lumières aveuglantes toutefois, car alimentées par des génératrices d’utopies toutes plus psychédéliques les unes que les autres. Et dans leurs sabbats l’idée même d’une nation française, d’une culture française, met ces socio-pyrotechniciens en transe, jusqu’à en faire des zombis capables des extravagances les plus furieuses.

Dans le conte, une bonne fée limite les effets du poison à leur seule vertu soporifique. Existerait-il une Mélusine qui, dès l’extinction des lampions de la Révolution française, aurait subrepticement glissé quelques gouttes du philtre salvateur, dans le biberon d’une République encore nourrisson. Existerait-il aujourd’hui ce prince charmant qui, d’un chaste baiser, viendrait la réveiller. Je divague complètement, encore que…

Depuis plus de deux cents ans dans cette République, devenue paraît-il adulte, la population ne souhaite-t-elle pas, à échéances variables, qu’un « Homme providentiel » vienne la prendre dans ses bras pour la délivrer des cauchemars qui la hantent ?

Les faits nous prouvent hélas que l’habit ne fait pas le moine. Le costume dudit prince charmant cache le plus souvent, telle une peau d’oignon, les oripeaux d’un ambitieux dont le baiser ne traduit rien d’autre que le désir d’un suborneur libidineux.

« Un jour mon prince viendra… les cloches sonneront… », chantait Blanche-Neige.

« France, ma France très belle, pour toi je ferai bataille », chantions-nous en défilant naguère, sous les vivats de franchouillards de l’espèce la plus abrutie.

« Nique La France », incante dans l’indifférence générale le rappeur Saïdou, aujourd’hui symbole reconnu du « devoir d’insolence », pierre d’angle d’une culture désormais métissée.

ZEP - Nique la France (Paroles).

ZEP – Nique la France (Paroles).

France, ma France très belle, repose en paix. Ce n’est pas demain la veille, semble-t-il, qu’on livrera bataille pour toi.

Mais comme j’ai la réconfortante réputation de me tromper dans mes prédictions, tout espoir n’est peut-être pas perdu. Inch’ Allah !

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24  99

Partager :