Non au camp clandestin à Beekkant !
Le quartier Beekkant est difficile à vivre depuis des années. Maintenant s’ajoute à ce mal-vivre la présence d’un camp Rom. Il s’agit de 20 cabanes bricolées à quelques dizaines de mètres de logements sociaux sur un terrain appartenant à Infrabel (gestion de réseau ferroviaire).
Les riverains assistent à un constant va-et-vient, à une accumulation d’ordures diverses, des caddies abandonnés et une hygiène générale catastrophique. Infrabel ne veut pas intervenir tant que la sécurité des voyageurs n’est pas en danger, position que la commune de Molenbeek reprend à son compte. La commune refuse d’envisager une expulsion de ces squatteurs, à la grande déception de nombreux riverains.
Le Vlaams Belang Propose
Le problème des Roms est souvent celui de personnes apatrides et la Belgique ne fait pas ce qu’elle veut au vu de la législation européenne et du statut international des apatrides. Néanmoins, le Vlaams Belang pense qu’il y a moyen de décourager ces personnes de venir dans notre pays, compte tenu que ces communautés refusent toute forme d’intégration dans les pays où ils se rendent. Pour le Vlaams Belang, personne ne peut vivre en marge de notre société et subvenir à ses besoins grâces à des activités forcément illégales au détriment de nos concitoyens.
Alors que faire?
- Permettre légalement une intervention systématique des forces de l’ordre dans les cas d’occupations illégales de bâtiments ou de terrains.
- Rassembler ces personnes dans des espaces fermés afin de leur prodiguer des soins et d’analyser leur situation légale. Simplement les relâcher dans la nature n’est pas une option humaine.
- Application rigoureuse de l’ensemble de notre législation: droit de séjour, travail au noir, obligation scolaire, règles sanitaires, domiciliation, etc.
- Rapatrier ces personnes vers leurs pays d’origine quand la loi le permet.
- Ici, comme pour le reste, le laxisme est une solution de facilité inacceptable.
- Article paru sur le site du Vlaams Belang Bruxelles.
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