Invasion de peuplement et invasion de pillage
par Jean-Michel Hermans
« Il n’y a pas de Français de souche. Il n’y a qu’une France de métissage »
(Éric Besson).
C’est exact, la France est un mélange de peuples, mais quels peuples ? Il ne faut pas confondre invasion de peuplement et invasion de pillage en passant. La France a subi pas mal d’invasions de passage, mais très peu d’invasions de peuplement. Le seul très important mélange dans toute l’histoire de la France remonte à trois mille ans quand la grande invasion celte est arrivée d’Europe centrale.
À l’époque, toute la France, et même toute l’Europe atlantique, était occupée par un peuple dont on ignore le nom, qu’on dénomme souvent les Mégalithiques car ils étaient les dresseurs de mégalithes. Personnellement je préfère les appeler Atlantes car selon toute vraisemblance leur territoire était celui de la mystérieuse Atlantide. Ils étaient la plus ancienne civilisation sur Terre (5 000 av. JC). Ils étaient les premiers astronomes, premiers géomètres, premiers mathématiciens, 2 500 ans avant l’Égypte.
Également le premier peuple monothéiste avec un dieu unique, le soleil. Ils étaient des marins, commerçant dans toute la Méditerranée jusqu’en Égypte.
Les Celtes, eux, étaient des barbares animistes, ignorant tout de l’astronomie et de la géométrie. Mais ils étaient en avance matériellement car ils possédaient le fer. Ils étaient des cavaliers avec des chariots dotés d’essieux en fer et de roues ferrées. Ils avaient surtout des épées en fer, longues, légères et affûtées. Les Atlantes étaient armés d’épées en bronze, courtes, lourdes et peu coupantes. Autrement dit, entre les deux, il n’y avait pas photo.
En cas de conflit, les Celtes étaient très supérieurs. Ils ont donc réussi à s’imposer militairement. Et cela a occasionné le grand mélange entre deux peuples. Le mélange français se situe là. C’est la langue de l’envahisseur qui a survécu, comme mille ans plus tard le latin a survécu face au gaulois. Mais c’est la science et la culture des autochtones qui a perduré à travers le druidisme. Le pays est devenu la Gaule et toute l’Europe atlantique a été celtisée.
Ensuite les Romains ont envahi, à leur tour, le pays. Mais cette invasion romaine n’a pas été une invasion de peuplement. Les centurions romains ne se sont pas installés. Il y a eu quelques colons gallo-romains qui ont implanté des fermes, mais comparé à la population du pays, c’était infime. On a pris la langue des Romains, mais il n’y a pas eu de mélange.
C’est toujours le socle originel celtes-atlantes qui a perduré. Les Français ne sont pas des Latins, mais des Celtes latinisés. Par la suite, la période des invasions « barbares » a sévi pendant quelques siècles. Les Wisigoths, les Ostrogoths, les Alains, les Vandales, les Huns, etc. nombreuses invasions de passage, mais pas de peuplement. Les Wisigoths ont peuplé le nord de l’Espagne, mais pas la Gaule. L’invasion franque, à son tour, est arrivée. Les Francs se sont imposés, mais ils n’ont peuplé que la Moselle (le seul département où l’on parle encore le francique, la langue de Clovis). Metz était la capitale du royaume franc. Tout le reste du pays n’a pas été peuplé de Francs.
Les Francs n’étaient qu’une fraction infime de la population et on ne peut pas parler de mélange. Les toponymes francs se comptent sur les doigts de la main. Ensuite, seuls les Vikings se sont réellement installés, mais uniquement en Normandie. Là, il y a eu effectivement un mélange, mais sur un petit territoire comparé à la surface du pays. Le grand démographe Jacques Dupâquier l’a bien dit, le socle de la population française est resté inchangé depuis deux mille ans.
Le « mélange » n’a commencé qu’à la fin du XXe siècle avec l’arrivée de millions d’immigrés. C’était la première invasion de peuplement depuis trois mille ans. Donc la France n’est un mélange que depuis cinquante ans, pas depuis des siècles comme voudraient nous le faire croire tous les immigrationnistes.
Jean-Michel Hermans est l’auteur du livre Surpopulation : l’alerte mondiale aux Éditions Dualpha, collection « Patrimoine des Héritages », préface de Philippe Randa, 258 pages, 27 euros. Pour commander ce livre, cliquez ici.
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