17 novembre 2020

Les Pays Bas : un narco-État ?

Par Richard Dessens

Un ravage programmé de l’Europe

La situation au Pays Bas revient dans l’actualité, après bientôt cinquante années de laxisme et de libéralisation des drogues « douces ». Meurtres, police et justice infiltrées par les réseaux de trafiquants et le crime organisé, corruption, démontrent ce que les ravages des idées progressistes et du libertarisme en matière de drogue ont pu faire dans ce pays.

En Europe, d’après le dernier rapport 2019 de l’Union européenne, 100 millions d’Européens ont déjà consommé de la drogue et 25 millions de jeunes (15/34 ans) en consomment régulièrement. Chiffres effarants qui visent plus de 20 % de la population européenne et 35 % de sa jeunesse.

Et encore faudrait-il y intégrer le chiffre noir de la consommation réelle d’une part, et tenir compte des enfants en bas âge et des vieillards qui ne sont pas encore ou plus, des consommateurs, d’autre part. Les chiffres seraient alors encore plus inquiétants en proportion.

Aux Pays Bas, on estime le chiffre d’affaires de la drogue à plus de 15 milliards d’euros, pour un pays de 17 millions d’habitants. Rapporté à la France ce chiffre tournerait autour de 60 milliards. 500 milliards au niveau européen, créant ainsi une véritable économie qui est de moins en moins « parallèle » et de plus en plus intégrée dans une réalité économique dangereuse.

Supprimer l’économie des drogues reviendrait à supprimer des dizaines de milliers d’« emplois » et de jeter dans d’autres activités de banditisme ou de nouvelles drogues ses membres actuels, sauf à prendre des mesures répressives telles, qu’elles sont inenvisageables dans les États « de droit » sacro-saints qui constituent l’Europe. L’État de droit c’est le droit des délinquants et des réseaux de drogue d’exercer leurs activités.

Mais au-delà de son aspect économique, la question des drogues pose d’abord le problème de la santé de toute une population et de sa jeunesse, devenues peu à peu esclaves d’une dépendance qui leur ôte insensiblement toute volonté face aux évènements : laisser-aller, pacifisme, tolérance extrême, incapacité à réagir aux multiples dangers qui nous entourent, amollissement des corps et des esprits.

Toute cette attitude de déliquescence se jumelle parfaitement avec l’esprit démocratique postmoderne, aux visions cosmopolites, immigrationnistes, mondialistes, droits-de-l’hommistes, individualistes, où le principe de tolérance le dispute à celui de l’ « État de droit » passoire.

Toutefois on ne peut qu’être surpris du silence de nos gouvernants et de nos « élites » sur le problème de la drogue et de ses conséquences sur l’anesthésie paralysante des peuples européens. Outre que cette anesthésie leur laisse les mains libres pour imposer leur philosophie émasculatrice des valeurs et identités européennes, il faut rappeler ce que tout le monde semble avoir oublié et qui pourtant était avéré il y a plus de cinquante ans.

La Chine est symboliquement depuis les « guerres de l’opium » des années 1840 au centre de la problématique de la drogue, avec sur sa frontière le célèbre « Triangle d’Or » notamment.

Si la Chine, officiellement, affirme mener une lutte contre les trafics de drogue, celle-ci reste très régionalisée selon les provinces chinoises, et la consommation est assez faible par rapport à sa population de près d’1,5 milliard d’habitants.

La politique chinoise est ainsi ambiguë. D’autre part, les Triades, principales pourvoyeuses de drogue et du crime organisé, sont étroitement liées au pouvoir chinois et d’énormes investisseurs dans l’économie chinoise et son expansion internationale.

D’ailleurs les Triades possèdent des « succursales » dans la plupart des grands pays du monde qui ont une communauté chinoise notable (USA, France, etc.).

L’utilisation de la drogue constitue une véritable arme, ou moyen de pression et d’influence pour la Chine depuis longtemps et Mao, dans les années soixante, avait bien compris la puissance destructrice d’une telle arme insidieuse pour ôter leurs griffes aux Occidentaux honnis (les « tigres de papier »).

Dans les années 66/67 circulaient des instructions chinoises exhortant d’intensifier la distribution de drogues dans les jeunesses, européenne et américaine, à travers les alliés objectifs de la Chine que constituaient en vrac les groupes politiques ou « philosophiques » de l’époque (hippies, « maoïstes », trotskystes et tout groupement détestant les valeurs et identités occidentales, très à la mode dans cette période d’insurrection gauchiste).

Le relâchement général et durable des « mai 68 » occidentaux formait un creuset très favorable à cette campagne d’intoxication menée par la Chine. Bien sûr on peut hurler au « conspirationnisme », à la fameuse « théorie du complot », tellement commode pour nier des réalités toujours improuvables bien entendu. Il n’empêche que de telles instructions ont bien été orchestrées à la fin des années soixante par la Chine. Et vite oubliées et rejetées au nom d’une nouvelle coopération naissante et attractive avec une Chine en réveil économique dans les années soixante-dix.

La lente imprégnation des jeunesses européennes infectées sur maintenant deux ou trois générations, a fini par gangréner l’ensemble d’une population amollie par des démocraties mourantes et qui est prête à se donner à quiconque décidera d’en détruire le peu qui en reste. Le fléau de l’immigration ne peut que compléter les espoirs d’une Chine prête, elle, à toutes les conquêtes et à une domination du monde dont elle rêve depuis les humiliations de la guerre de l’opium et des traités inégaux.

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