Le sport au service de l’islamisme radical
Dans ses conclusions, le rapport de la commission d’enquête du Sénat sur la radicalisation islamiste consacre une partie non négligeable à « une radicalisation en milieu sportif insuffisamment mesurée et contrôlée » : « Le sport, lieu emblématique de l’intégration et de l’apprentissage des règles est devenu à bien des égards celui d’une forme de désocialisation dans la mesure où la radicalisation quoique difficile à quantifier précisément, semble y progresser. »
L’une des constantes de nos élites politiques réside dans ce refus opiniâtre à regarder en face ces vérités qui, de fait, les terrorisent. On a une fâcheuse tendance à confiner les autruches dans de lointains espaces africains, et pourtant ! Combien d’entre elles peuplent les hémicycles de nos assemblées parlementaires ou les ors de nos palais ministériels.
La sagesse de nos pères, remisée hâtivement dans les débarras de la société en marche (forcée), prétendait qu’il était toujours loisible de tirer une leçon de l’expérience.
Quelque esprit ectoplasmique ose encore affirmer que la vraie stupidité c’est justement d’être incapable de le faire.
Comment la France, qui, mieux que quelque autre nation, a vécu avec l’islam une longue cohabitation, n’aurait-elle pas encore quelques-uns des siens capables de diagnostiquer, de traiter et d’éradiquer cet islamisme qui la ronge ? Certes, mais il n’est pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Et à refuser le déclenchement de toute campagne sanitaire, un trachome agressif répand son infection dans les sphères politiques et intellectuelles du pays.
Et pourtant les tentatives d’islamisation radicale par le sport ne sont pas nouvelles…
Une circulaire du 20 janvier 1928 du Gouverneur général de l’Algérie demandait au préfet d’Oran de « faire interdire rigoureusement les rencontres entre sociétés sportives composées les unes d’Européens et les autres d’Indigènes. »
Les Européens de souche auraient-ils refusé de se mêler aux indigènes sur le tuf abrasif des terrains de ce football, sport roi de la province ? Contresens fâcheux car les autorités civiles poursuivaient bien au contraire leur politique d’assimilation en imposant un quota de joueurs européens par équipe indigène (3 en 1930 puis 5 en 1935).
Qui s’efforçait d’imposer une ségrégation et à quelles fins ?
Ce sont bien les dirigeants des équipes indigènes qui répugnaient à accepter des joueurs européens puisque c’est bien aux leurs qu’était imposé un quota d’Européens.
Les leaders « nationalistes », les amis du Cheikh Ben Baddis et les Oulémas avaient bien compris l’intérêt de créer des entités sportives capables de fédérer la jeunesse musulmane, ensemençant ainsi un espace communautariste encore en friche. Ils trouvaient là le lieu idéal d’une opposition frontale inattaquable, puisque le propre d’équipes sportives est de s’affronter.
N’est-on pas alors en droit d’évoquer une politique d’apartheid à rebours prônée par des adversaires résolus de toute intégration ?
La commission d’enquête du Sénat ne précise pas si elle s’est penchée sur le dossier qui restera dans l’histoire de notre football national sous le titre peu reluisant de « Fiasco de Knysna ».
Lors de la coupe du monde de 2010, des joueurs étaient entrés en dissidence au point de faire grève et de contester l’autorité de leurs entraîneurs. Certaines rumeurs, infondées bien sûr, auraient fait état d’un climat religieux exacerbé par le zèle de néophytes très récemment convertis. Yoan Gourguff, la face de craie bretonne, le bizuth souffre-douleur, trop bien élevé, trop respectueux de l’autorité, doit encore s’en souvenir.
Il est vrai que pour certains titulaires de nos équipes nationales, la France n’est qu’un moyen matériel de prospérer, leur cœur, leur nation de cœur étant ailleurs. Faut-il encore rappeler que pour l’islam la seule nation invocable c’est l’Oumma.
EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !
Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !
EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.
Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.
Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.
EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.
Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.
Quatre solutions pour nous soutenir :
1 : Faire un don par virement bancaire
Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP
2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)
Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés
à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France
4 : Faire un don par carte bancaire
Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24 99