12 juin 2021

Le Danemark, avant-poste du refus des migrations massives ?

Par article conseillé par EuroLibertés

Par Paul Vermeulen.

L’époque où la Scandinavie, en particulier la Suède et le Danemark, appliquant le credo social-démocrate du « vivre ensemble » et des « bienfaits » du multiculturalisme, ouvrait ses portes en grand aux migrants, qualifiés de « réfugiés », serait-elle révolue ? Depuis trois ans, le Danemark a mis un tour de vis à sa politique migratoire. Ce pays l’accentue même, soucieux de survie identitaire et de lutte contre la criminalité et la délinquance. Les Danois regardent la réalité en face : les migrations massives sont la source du développement de la violence.

Le Parlement du Danemark a donc adopté jeudi 3 juin 2021 une loi qui l’autorise à transférer ses demandeurs d’asile en dehors de l’Union européenne dès qu’ils arrivent sur le territoire danois. Cela choque les médias publics français, RFI par exemple, qui annonçait cette décision ainsi : « Délocaliser les demandes d’asile, ce dont rêvent toutes les extrêmes droites européennes, le gouvernement de la sociale-démocrate Mette Frederiksen l’a fait. »

Que dit la loi ?

Que prévoit la loi ? Tout candidat à l’asile arrivant au Danemark sera aussitôt mis dans un avion en direction du Rwanda, de l’Erythrée ou d’autres pays ayant accepté de traiter sa demande d’asile. Le Danemark paiera les frais. L’idée n’est pas neuve et, contrairement à ce que paraît penser RFI, elle a été envisagée ailleurs. Macron avait évoqué cette possibilité durant sa campagne présidentielle. Reste que le Danemark est le premier pays de l’UE à mettre en œuvre un embryon de remigration. Une bonne nouvelle pour les populations européennes, en particulier pour les jeunes femmes, plus souvent victimes qu’à leur tour de l’hystérie migratoire. Si la demande d’asile est prise en compte, le migrant peut éventuellement entrer au Danemark, sans certitude. Si la demande est rejetée, ce sera au pays coopérant avec le Danemark de renvoyer le migrant chez lui. Un premier pas en avant vers « l’Afrique aux Africains », ce qui fut d’ailleurs longtemps la revendication des Africains eux-mêmes, une revendication à laquelle il paraît sage d’accéder. Un pas en avant sans doute symbolique, le Danemark ayant eu seulement 1 500 demandes d’asile en 2020, mais une loi qui ouvre peut-être enfin la boîte de Pandore dans le bon sens.

Les danois sont ainsi les premiers Européens à réagir face à l’immigration massive. Le Danemark, et en particulier Copenhague, connaît une flambée des violences imputables à des immigrés depuis bientôt dix ans, avec une recrudescence depuis cinq ans. Il n’est pas rare de voir débouler des musulmans et/ou Africains sur des vespas et tirer sur tout ce qui bouge. Au cœur de Copenhague. Le fruit de guerres entre bandes ethniques. Certains quartiers sont à 90 % étrangers. C’est ce qui avait déjà conduit le Danemark, en 2018, à baisser les allocations pour les migrants, à doubler les peines de prison, à extraire les criminels des cités et à rendre obligatoire la crèche pour les enfants de migrants. Des mesures de bon sens, des mesures de survie identitaire. Prises par un gouvernement social-démocrate. Reste à mener une grande politique européenne de remigration : le grand remplacement n’est pas une fatalité.

Article paru dans les colonnes du quotidien Présent.

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