La Suède terrorisée par les gangs mafieux de migrants

par Franck Deletraz.

Immigration, invasion et criminalité

Après des années d’une politique d’immigration et d’accueil totalement folle, le moment est donc venu pour le très libéral et émasculé royaume de Suède de payer la note particulièrement salée d’un « humanisme » et d’une générosité qui relèvent surtout de la niaiserie. C’est ainsi que ce pays, que certains osent encore nous présenter comme un « modèle », est aujourd’hui devenu le « terrain de jeu » de plus d’une quarantaine de clans mafieux immigrés, qui y sèment la terreur dans une impunité totale et vont même jusqu’à imposer leur « loi » aux autorités. Une situation devenue à ce point incontrôlable que les responsables de la police suédoise eux-mêmes ont récemment avoué publiquement leur incapacité à endiguer ce tsunami criminel venu de l’étranger.

Plus d’une quarantaine de clans étrangers

C’était au début du mois de septembre. Peu après que la famille criminelle la plus célèbre de Göteborg, le gang Ali Khan, originaire de Palestine, de Turquie et du Liban, a carrément érigé des barrages routiers dans le nord-est de la ville pour interdire son accès aux membres de gangs rivaux. Interviewé par MailOnline, Erik Nord, chef de la police de Göteborg, osait briser le silence et confier : « Nous avons besoin de plus de police et nos tribunaux et prisons doivent être renforcés pour faire face à cette situation de toute urgence. Sinon, nous allons nous transformer en un paradis de gangsters. » Mieux : faisant fi du politiquement correct, Nord précisait que ces réseaux criminels immigrés étaient attirés en Suède par les documents administratifs si généreusement délivrés par l’Etat depuis des années. En effet, n’hésitait pas à expliquer le policier, « notre généreux système d’aide sociale et notre société de confiance peuvent être exploités par les réseaux criminels ». Or, « lorsque le système clanique trouvé au Moyen-Orient, en Afrique du Nord et dans les Balkans a été transféré en Suède, avec notre haut niveau de confiance sociale, il s’est transformé en crime organisé ». Et Erik Nord d’ajouter alors : « C’est terrible, parce que les ressources policières sont utilisées pour régler le problème que nous avons nous-mêmes créé » ! De quoi provoquer un choc dans ce pays dont le Premier ministre Stefan Löfven se refuse toujours à faire le moindre lien entre immigration folle et explosion de la criminalité…

Un lien entre immigration et criminalité difficile à cacher

Pourtant, le moins que l’on puisse dire, c’est que l’implication des gangs mafieux de migrants dans l’explosion de la délinquance en Suède est devenue vraiment difficile à cacher à la population. Ainsi, au cours du seul premier semestre 2020, la police a-t-elle dénombré plus d’une vingtaine de personnes tuées dans 163 fusillades impliquant ces clans venus de l’étranger. L’an dernier, elle avait déjà compté pas moins de 257 attentats à la bombe et plus de 300 fusillades liées à des règlements de comptes entre gangs de migrants. Pire encore : durant ces trois dernières années, un mois seulement s’est écoulé sans qu’un nouveau meurtre lié à un gang étranger n’ait lieu ! Sans parler des enlèvements, des agressions à l’arme blanche, des viols, des vols et des incendies criminels, dont le nombre a littéralement explosé. Tout comme celui des « vols d’humiliation », au cours desquels de jeunes Suédoises de souche sont agressées, dégradées et violées par des migrants pour la plupart musulmans, à seule fin de les humilier ! Une situation qui inquiète d’autant plus les responsables de la police que, non contentes de faire régner la terreur dans les grandes villes du pays et de disposer déjà de nombreux appuis au sein de la justice, ces familles étrangères venues en Suède uniquement dans le but d’y implanter leurs systèmes claniques réussissent de plus en plus à peser dans les sphères politiques et financières, notamment dans les quartiers abandonnés à l’immigration.

Article paru dans les colonnes du quotidien Présent.

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24  99