22 juin 2021

La politique de l’immigration et de l’asile est une catastrophe

Par article conseillé par EuroLibertés

Le nombre de demandes d’asile ne cesse d’augmenter. C’est ce qui ressort des derniers chiffres publiés par le Commissariat général aux réfugiés et aux apatrides. Le mois dernier, un total de 1.634 demandes a été enregistré Le nombre de demandes d’asile évolue donc lentement mais sûrement vers un niveau pré-corona. La note de Sammy Mahdi (Secrétaire d’Etat en charge de l’asile et de l’immigration), qui a été divulguée, montre également que la coalition Vivaldi rend impossible la mise en œuvre d’une politique migratoire saine. «Groen et Ecolo ont déjà balayé la possibilité de pratiquer des visites domiciliaires pour traquer les illégaux, mais maintenant Monsieur Mahdi veut en plus faire en sorte que les immigrants illégaux avec une famille ne puissent pas être expulsés. Félicitations.» a déclaré le député Dries Van Langenhove (Vlaams Belang).

Les chiffres sont clairs: la Belgique reste une destination de prédilection pour l’immigration clandestine. Ce n’est guère surprenant parce qu’aucune des mesures nécessaires à endiguer ce flux constant n’a été prise par cette coalition Vivaldi, véritable patchwork politique incohérent. Hélas, les nouveaux plans du Secrétaire d’Etat Mahdi semblent renforcer cette tendance délétère.

Celui-ci annonce régulièrement qu’il veut augmenter les retours, mais malheureusement on en reste aux effets d’annonce. Si cela dépend de Monsieur Mahdi, il y aura même désormais une interdiction légale de placer les familles illégales dans des unités de retour fermées adaptées en attendant leur retour forcé. «De cette façon, le signal est donné qu’aucun clandestin avec enfants ne sera jamais expulsé et que quiconque arrive dans ce pays avec des enfants pourra rester ici sans être inquiété. C’est une véritable opération portes ouvertes.» constate Dries Van Langenhove avec amertume.

Toute tentative, dans un nombre de cas extrêmement limité et bien défini, d’arrêter des immigrés clandestins en vue de leur retour forcé parce qu’ils ont manifestement refusé à plusieurs reprises de quitter le pays a été infructueuse en raison du «niet» de Groen, d’Ecolo et du PS. Ils se réfèrent, et c’était prévisible, à l’accord de coalition gouvernementale qui exclut les incursions domiciliaires. «La conséquence directe de cette politique est évidente: si les étrangers en situation irrégulière ne peuvent pas être arrêtés chez eux ou dans les espaces publics, un retour forcé devient quasiment impossible. Pourquoi ne ferions-nous pas de même pour d’autres délits? Dans le monde fantasmagorique de Groen, d’Ecolo et du PS, ce n’est peut-être pas le cas, mais dans le monde réel, le séjour illégal est bel et bien un délit. Tout cela a non seulement des conséquences sur la politique de retour, mais cela produira bien sûr aussi un effet de pompe aspirante qui rendra ce pays encore plus attractif pour l’immigration illégale en provenance du monde entier», conclut Dries Van Langenhove. Lorsque le risque d’être renvoyé de force est pratiquement nul, personne ne songe à quitter le territoire volontairement ou suite à la perception d’un bout de papier qui enjoint à quitter le territoire. Un message absurde mais clair est envoyé au vaste monde: quiconque entre dans ce pays illégalement peut y rester et y attende tranquillement le prochain cycle de régularisation demandé par les partis de gauche avec la complicité des partis de la fausse droite.
Article paru sur le site du Vlaams Belang Bruxelles.

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