23 juillet 2016

Les indemnisations des victimes de tueurs musulmans

Par Bernard Plouvier

Qu’on le veuille ou non, nous sommes en période préélectorale. De ce fait, moins de dix jours après la nouvelle tuerie islamique, celle de Nice, une obscure « secrétairesse » d’État annonce le déblocage imminent des fonds pour indemniser les victimes du dernier attentat. Et cela pose deux séries de questions.

En quoi l’État, soit l’ensemble des contribuables, devrait-il régler la facture des soins aux blessés, de l’inhumation des morts en plus d’un éventuel secours aux veuves et orphelins et, pourquoi pas, en sus du classique pretium doloris ? Les assureurs sont là pour le faire… Ah ! Il paraît qu’en cas d’attentat, il n’y a plus personne ! Curieux, en notre époque où les attentats sont plus fréquents que les bonnes nouvelles économiques !

Donc, les contribuables vont servir de vache à lait, pour défrayer les victimes des djihadistes, tueurs d’innocents, assassins de touristes et de promeneurs. Pourtant, il existe à l’évidence une autre solution.

Nous sommes riches de 6 millions d’immigrés musulmans adultes qui, s’ils sont en France, y travaillent, du moins en principe, puisqu’on les a fait venir pour cela ! Les roitelets et milliardaires saoudiens, qataris, maghrébins (notamment ceux du trafic de haschich) possèdent quantité d’immeubles luxueux et de sociétés implantées en France.

La solution est donc évidente : que les musulmans financent les dégâts occasionnés par ceux de leurs frères qui sont des fruits pourris. Les ulémas, mollahs, imams, etc. ne cessent de clamer que la Oumma (la communauté musulmane mondiale) forme un tout et que l’islam est une « religion de paix et d’amour ».

On ne leur demande pas de nous aimer, nous autres « sales chiens d’infidèles », mais on leur demande de nettoyer les immondices de leurs frères, d’empêcher les récidives (il serait bon que, dans leurs mosquées implantées sur le sol français, ils cessent la propagande pour le Djihâd), enfin qu’ils paient les sinistres, qu’ils indemnisent les victimes des tueurs de leur bord.

On attend donc de nos glorieux « chefs », les Hollande et Valls, qu’ils déposent dans l’urgence un projet de loi taxant d’un impôt spécial tous les salaires et revenus des musulmans, tous les biens immobiliers des musulmans, pour alimenter le fonds spécial d’indemnisation des victimes du fanatisme musulman et réparer les dégâts commis au nom d’Allah le tout-puissant et, paraît-il, le miséricordieux.

La Justice l’exige, le bon sens aussi.

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