La France attire moins les Africains : c’est l’OCDE qui le dit…
La dernière étude de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) consacrée aux migrations africaines vers les pays développés entre 2001 et 2016 a de quoi étonner.
Notamment par cette affirmation : la France attire toujours les ressortissants d’Afrique noire, mais… moins qu’auparavant (sic !) : « … représentant un immigré sur dix, la migration africaine vers les pays de l’OCDE a vu son poids légèrement augmenter au cours des dernières années ; elle demeure toutefois faible par rapport à la part de l’Afrique dans la population mondiale […]. La France est toujours la principale destination, mais sa part se réduit (…) passant de 38 % des migrants africains installés dans les pays de l’OCDE en 2001 à 30 % en 2016 »… Le Monde n’hésite alors pas à écrire que « les tenants de la théorie du grand remplacement ou les agitateurs du spectre de la ruée africaine – vers l’Europe en général et la France en particulier – n’apprécieront sans doute pas… »
Ce qui est le comble de la mauvaise foi, de l’hypocrisie ou de la simple bêtise puisqu’on rappellera que les frontières ayant disparu dans l’Union européenne, rien n’empêche un immigré entré dans un autres pays d’arriver chez nous ensuite ; que sur les millions de migrants entrés chaque année sur notre continent depuis cinquante ans, bien peu sont repartis chez eux ou ont cherché bonne fortune ailleurs sur la planète… et encore moins oublié de fonder famille grâce aux généreuses allocations familiales dont ils n’ont pas manqué de bénéficier.
Quant à l’affirmation que cette étude de l’OCDE a « compilé des statistiques, par pays de naissance, des migrants internationaux (…) sans tenir compte de leur “statut légal ou de la catégorie de migration” », ils serait intéressant de connaître leurs sources pour évaluer l’immigration clandestine, notamment en France où les statistiques ethniques sont interdites…
Très sévèrement interdites, comme on sait…
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