10 avril 2022

D’une pénurie l’autre, menace sur nos fritures

Par Philippe Randa

À chaque période de tension, l’obsession des pénuries est de retour ; on l’a vu durant les deux années de dinguerie covidienne où la crainte de ne plus trouver de papier toilette affola les populations… Au dernier recensement de nos petits tracas quotidiens, personne n’a pourtant été victime d’une si terrible situation… sauf les étourdis qui auraient oublié d’en acheter !

Depuis que la grande terreur pandémique n’empêche plus une majorité de nos compatriotes (seulement 1 sur 4, semble-t-il, qu’on peut aisément repérer pour continuer à porter dans la rue leur chiffon sur le museau, voire même dans leur lit pour les plus prudents) avec l’attaque russe contre l’Ukraine, c’est re-belote !

Le papier toilette ne semblant plus avoir la cote – ou alors, les stocks étant suffisants de la cave au grenier chez tout à chacun), quelle autre pénurie nous menace donc ?

Celle de l’huile de tournesol, pardi ! qui pourrait faire tragiquement défaut ! En tout cas, la « question se poserait », comme le titrait FranceInfo début mars : « En Espagne, certains clients commencent à faire des provisions. Pour éviter la ruée sur les bouteilles d’huile, les supermarchés ont commencé à rationner : 5 litres maximum par client. »

Et chez nous ? La menace – pour l’heure fantôme, comme dirait George Lucas – agite les esprits car « La France importe des denrées ukrainiennes. Elle utilise notamment de l’huile de tournesol pour les cantines et la restauration. »

Heureusement, Michel Biéro, directeur exécutif achats et marketing de Lidl France, nous rassure : dans une déclaration au Parisien, il dit posséder des stocks suffisants « pour une consommation normale de ce produit. »

Sauvés donc ! Quoiqu’une bonne nouvelle alimentaire étant toujours quelque peu périssable, le même ajoute qu’il craint néanmoins « une forte inflation des prix dans l’alimentaire », de l’ordre de 3 à 3,5 % au premier semestre 2022 !

Utilisée principalement pour les fritures, l’huile de tournesol pourrait donc devenir aussi rentable au marché noir que les cigarettes ou le haschich…  Avis aux trafiquants intéressés !

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