Des enclaves islamistes en France ? Allons donc, ne seriez-vous pas « islamophobe » ?
On se rappelle la bonne ville de Lunel dans le haut Hérault, qui avait vu une vingtaine de ses « habitants », partir faire le djihad pour Daesch en Syrie au mitan des années 2010. Selon une enquête que vient de publier Le Figaro le 30 mars 2023, « Le radicalisme islamique s’infiltre jusque dans les villages », dont Lunel justement.
Le Procureur de la République de Montpellier et le Préfet de l’Hérault ont été saisis de faits de prosélytisme islamique avérés. Malgré l’interdiction de salles de cours dans une annexe de la mosquée par un arrêté municipal en novembre 2021, les forces de l’ordre, sur réquisition des autorités compétentes, ont découvert que des endoctrinements islamistes persistaient sur des enfants, ce qui a été confirmé par une sous-commission départementale de sécurité.
Trois classes dédiées à l’apprentissage de la religion « et ce en toute illégalité » y perduraient.
Le Préfet vient de demander au maire de « procéder à la fermeture de toutes les salles d’enseignement coranique aménagées dans la structure. » L’aide aux devoirs s’était transformée en apprentissage de la haine.
Lunel serait-elle redevenue « Djihad City », comme le craignent les Lunellois qui aspiraient pourtant à tourner la page de cet islamisme échevelé. Car pour le Préfet « il demeure à Lunel un foyer islamiste », et pour une fois, ce représentant de l’État dit clairement les choses et n’emploie pas la langue de bois si chère à son ministre de tutelle, Monsieur Darmanin. Le Préfet annonce tout de go « un régime d’apartheid genré à l’encontre des femmes ». Tiens, tiens, aurait-on lu à bon escient quelques sourates du Coran place Beauvau ?
Le représentant de l’État est sans équivoque : « l’accueil de mineurs dans certains lieux n’est pas anodin… des associations délivrent un enseignement radical. Certains indices ne trompent pas ». On est satisfait que des hautes autorités s’en rendent enfin compte !
Des villes comme Gigean, Montagnac ont vu aussi des associations islamistes être dissoutes ou des salles de prières fermées pour avoir contrevenu à la loi sur la sécurité intérieure et à la lutte contre le terrorisme rapporte le même article.
Sonia Backès, Secrétaire d’État chargée de la Citoyenneté (j’avoue que son nom et sa fonction m’avaient totalement échappé), rappelle que 187 établissements ont été fermés provisoirement ou définitivement et que huit millions d’euros ont été redressés ou recouvrés. (Cf son entretien du 30 mars 2023 avec deux journalistes du Figaro) sous le titre dénué d’ambiguïté : « l’islam politique veut mettre la république à genoux ». Elle précise : « Notre adversaire est l’islam politique. Ce dernier n’a qu’un projet : l’établissement d’un régime théocratique ». Enfin une salutaire prise de conscience d’un phénomène qui se voyait comme le nez au milieu de la figure ?
Mais alors pourquoi agir si tard et si timidement ? Sonia Backès d’indiquer : « nous avons des décennies de retard… on est passé d’une forme de déni… », car il fallait dit-elle « désinhiber l’administration », quel aveu explicite !
L’islamisme déjà avait gangrené et gangrène tous les rouages de l’État. Sur l’attitude islamo-gauchiste du maire de Grenoble, elle convient que « on est là dans une communication d’une grande ville française qui reprend les poncifs de l’islam politique ». Que penser alors de la communication de nos autorités européennes, elles aussi totalement phagocytées par l’islam politique, et pourquoi notre Président ne monte-t-il pas au créneau à Bruxelles en dénonçant les campagnes de propagandes islamistes de Madame Von der Leyen ou de celles du Conseil de l’Europe ? La politique du « en même temps » sans doute ?
Car comme le relate avec justesse Laurence de Charette dans un éditorial du Figaro du 29 mars 2023 : « Séparatisme : La république est timorée ». Tous les islamo-gauchistes, les LFI, Nupes et autres entités de gauche ne voient dans la lutte salutaire contre l’islamisme ou l’islam politique que des manifestations de l’islamophobie, et ce pour récolter des voix. Ce vocable a été inventé justement par les tenants de l’islam politique, comme Monsieur Plenel, ou encore en son temps par Tariq Ramadan, pour anesthésier les volontés de le contrecarrer.
Laurence de Charette l’exprime clairement : « Et tandis qu’à Sainte Soline, Rennes ou Paris sévissent, en marge des manifestations, des extrémistes qui ont trop souvent montré leur connivence intellectuelle et morale avec l’islamisme, on ne peut qu’espérer un véritable sursaut de clairvoyance et de fermeté ». Mais si notre État, notre gouvernement ne combattent pas fermement l’idéologie mortifère islamiste qui s’est emparée de nos institutions nationales et européennes, c’est voué à l’échec. Un sursaut vital est impératif.
Le combat est quotidien, tel celui d’élus de la droite tarnaise qui demandent au Préfet du Tarn l’interdiction d’un concert à Albi « du rappeur Médine » qui dans ses propos revendique le meurtre et l’assassinat : « Crucifions les laïcards comme à Golgotha », « je hais les blancs… », etc., comme le rapporte Valeurs Actuelles le 30 mars. Imaginons un seul instant « un blanc » tenir les mêmes propos à l’égard de non-blancs ! Je rappelle que dans le Coran, les sourates dites « médinoises » sont celles justement qui appellent au meurtre des mécréants, à la haine des juifs, des chrétiens et à l’infériorité consubstantielle des femmes.
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