Début ou fin du désenclavement breton ?
Communiqué de Claudine Dupont-Tingaud, Présidente de RÉAGIR (Résister et Agir pour la défense de nos identités)
Éternelle question pour les cinq départements armoricains concernés et encore moins résolue depuis que le rapport Duron, ces jours-ci, sur les liaisons ferroviaires, leur a rappelé qu’ils ne pouvaient compter que sur eux-mêmes.
Et surtout pas sur l’indéfinissable « Grand-Ouest » qui, en lui retirant toute identité, lui rappelle que l’État jacobin, sans vergogne depuis Paris, rogne sur ce qui permettrait aux Bretons de se connecter.
Il renvoie à 2038 la priorité d’un désenclavement dont, comme les Corses, nous devrons nous contenter, orgueilleusement certes, d’être ces ultra-marins flattés par les promesses électoralistes !
L’abandon scandaleux de l’aéroport « Notre Dame des Landes » au bénéfice du toujours plus à l’Est aurait pu justifier un TGV mettant Quimper et Brest à 3 heures de Paris alors que nous devrons nous contenter à partir de Rennes Mégapole (simple entrée dans la Bretagne, mais première ville parisienne de Bretagne à 250 km de la pointe occidentale de l’Europe !) de la LGV… la moins chère de France !
Projet cependant inscrit au contrat de plan 2015-2020 en complémentarité des vols aériens à partir de la péninsule, les plus chers de France, mais conçus par des énarques à l’intérieur du périphérique parisien… depuis 1970 !
Où est « la priorité aux transports quotidiens et au renouvellement des infrastructures » dixit Macron-Président (1er juillet 2017) venu avec des « robinsons du rail » dans un train qui n’avait mis qu’une heure trente pour se rendre d’une capitale nationale à la capitale régionale sans arrêts de service, de desserte, de loisirs !
De Gaulle-Président l’avait promis en complémentarité du plan routier breton des années soixante inspiré par le CELIB !
Macron l’a fait !
Aussi jacobin l’un que l’autre ?
L’électorat breton, fort soutien d’« En Marche », se doit de « partir à reculons » lors des prochaines élections… et de se mobiliser derrière ses représentants politiques en « union sacrée » qui seront en déplacement à Paris ce 7 mars.
RÉAGIR accompagnera toute démarche en ce sens !
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