5 novembre 2020

Danmark leve… Vive le Danemark !

Par Gérard Lehmann

Les deux mots les plus importants dans ces temps historiques : Danmark leve !

Ainsi la Première ministre Mette Frederiksen achève-t-elle son discours d’ouverture de la session parlementaire le 6 octobre dernier : Danmark leve.

Parmi les sujets évoqués, le drame du Covid-19, ses conséquences pour l’économie, les mesures prises par le gouvernement à court et à long terme, le souci d’initiatives en matière écologique occupent une place importante.

Mais il en est un auquel elle a consacré un long développement qui nous intéresse particulièrement : celui de l’insécurité, de la criminalité, de l’intégration, du communautarisme, du droit d’asile, autant de mots regroupés dans le champ sémantique de l’immigration islamique.

Qu’il y ait des différences sociales est une chose : « Mais je n’admets pas que la différence s’exprime en chicanes, agressions, comportements brutaux. Nous devons maintenir que tout être humain est né avec une volonté. La manière dont nous gérons notre existence relève de notre responsabilité. Tenons-nous en aux faits bruts. La statistique crue. »

Un sur cinq

« Chaque homme jeune d’origine non occidentale né en 1997 a contrevenu à la loi avant ses vingt et un ans. Un sur cinq.

Pas tous, pas tous, assurément. Mais clairement beaucoup trop. Des hommes jeunes qui attentent à la liberté d’autrui, confisquent l’avenir des enfants […] et laissent une longue trace d’insécurité.

Il n’y a là rien de neuf et c’est justement le problème. Cela dure depuis bien trop longtemps. Des filles traitées de tout parce que danoises. Ou bien des filles soumises au contrôle social parce qu’elles sont devenues trop danoises. Un marchand de saucisses de Brønshøj attaqué à coups de mortiers parce qu’il vend du porc.

Il n’est pas question d’accepter cette conduite, cette façon d’être, cette mentalité. Dans des quartiers particulièrement sensibles, 1 % des résidents sont responsables de presque la moitié de la criminalité.

C’est nous contre eux, de cette manière. Pas les blancs contre les bruns, les jeunes contre les vieux, Copenhague contre la province, mais entre nous qui voulons la sécurité, la décence, la démocratie, l’égalité, la liberté, d’un côté, et de l’autre ceux qui veulent le contraire.

À ses yeux, ces problèmes de violence durent depuis trop longtemps. La politique d’immigration passée était une erreur.

Le gouvernement poursuivra sa politique, mais il faut faire davantage. Nous avons une politique d’asile européenne qui en réalité est en ruine.

Soyons honnêtes : aujourd’hui la possibilité de l’asile dépend souvent de l’argent que l’on peut payer à un passeur. »

Les demandes d’asile seront donc traitées à partir de pays tiers et loin du Danemark.

Voilà qui fait hurler la commissaire à l’immigration Ylva Johansson.

« Allons-nous céder à l’avance, ou mettrons-nous des actes derrière des mots ? », dit la Première ministre. Des lois vont suivre.

Le mot d’islam n’aura pas été prononcé une seule fois.

Gérard Lehmann, Université de Danemark Sud, auteur d’Albert Camus Français d’Algérie (Éditions Dualpha).

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