21 juillet 2021

Bruxelles est à un tournant de son histoire

Par article conseillé par EuroLibertés

Aujourd’hui, Bruxelles est à un tournant de son histoire, comme l’est également le continent européen. Le choix est simple, soit nous abandonnons Bruxelles à la gauche, à l’extrême gauche et aux forces de la détestation de soi, soit nous faisons en sorte que Bruxelles redevienne une ville où il fait bon vivre et travailler. Voulons-nous un Bruxelles qui fait fuir les derniers entrepreneurs et commerçants et qui les remplace par de la misère importée des quatre coins du monde ou voulons-nous faire de Bruxelles une ville où le travail est récompensé et où l’esprit d’entreprise est stimulé? Voilà l’enjeu essentiel.

Voulons-nous faire en sorte que Bruxelles redevienne une capitale vivante ou allons-nous permettre que Bruxelles devienne plus encore qu’aujourd’hui une ville qui se meurt et qu’on entoure, comme au Moyen âge, de hautes murailles avec des portes à péage afin d’extorquer les automobilistes? Voulons-nous que Bruxelles conserve son statut de ville européenne et de capitale ou allons-nous toujours plus évoluer en une ville où tant la langue néerlandaise que la langue française sont vouées à devenir minoritaires? Bref, allons-nous accepter la logique du Grand remplacement initiée par le cartel des socialistes, des écologistes et des salafistes ou allons-nous faire le choix du sursaut avec pour mot d’ordre: Nos gens d’abord !

Un changement de politique radical s’impose

Notre intime conviction est que si nous voulons que Bruxelles redevienne une ville contemporaine, viable et au profil définitivement occidental, un changement de politique radical s’impose. Et cela, seul le Vlaams Belang est en mesure de le réaliser. Pour l’instant, aucune initiative significative dans ce sens n’est produite de la part des vieux partis du pouvoir et ce tant du côté francophone que néerlandophone.

Par contre, nous constatons qu’il y a des partis politiques qui font de la musculation verbale avec un discours sur la question du voile qui peut faire illusion, comme le font le MR et DéFI. Mais il faut vite déchanter, parce qu’ils baissent leur pantalon plus vite que leur ombre et ils continuent à mener des politiques totalement laxistes. En réalité ils se soucient beaucoup plus des postes bien payés à se partager que de l’application de leurs promesses électorales. Du côté néerlandophone, nous observons depuis longtemps qu’il existe un parti politique, la N-VA, qui copie des pans entiers de notre programme et s’approprie nos propositions sans la moindre vergogne. Mais une fois qu’ils entrent au gouvernement, ils font exactement le contraire sans honte aucune. Ceci démontre, s’il le fallait encore, qu’il n’existe qu’un seul vote utile tant pour nos concitoyens néerlandophones que francophones à Bruxelles.

Certains s’étonnent du fait qu’un parti nationaliste flamand communique à Bruxelles dans nos deux langues. En réalité, cette communication bilingue est en parfaite cohérence avec la ligne de notre programme. Le Vlaams Belang souscrit totalement à la réalité institutionnelle bruxelloise. Nous vivons dans une ville bilingue où les deux groupes linguistiques doivent disposer des mêmes droits. Enfin, il est inutile de rappeler qu’à Bruxelles, les néerlandophones et les francophones sont confrontés pour l’essentiel aux mêmes problèmes. C’est dans cette perspective que le Vlaams Belang mène campagne dans les deux langues depuis des années à Bruxelles.

Article paru sur le site du Vlaams Belang Bruxelles.

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