11 avril 2021

Le confinement : jusqu’à toujours plus tard et quoiqu’il en coûte…

Par Philippe Randa

En Belgique, des milliers de Bruxellois s’étant retrouvés au parc du Bois de la Cambre le 1er avril, la police n’a pas hésité a les charger à cheval !

Depuis, des vidéos de leurs violences – on peut notamment y voir une jeune femme se faire renverser par une patrouille montée ; une autre, assise, se faire tirer les cheveux et frapper à coups de pied – enflamment les réseaux sociaux… à défaut des médias, plus prompts à rendre compte des violences policières, réelles ou plus souvent supposés, lorsqu’il s’agit d’autres populations d’origines extra-européennes.

Va-t-on assister sous peu en France aux mêmes situations et aux mêmes dérapages ?

Ce troisième confinement qu’Emmanuel Macron impose à ses compatriotes – et bien qu’il n’ose même pas en assumer le terme – pourrait-il dégénérer s’il n’était pas respecté par un nombre trop important d’entre eux ?

Le gouvernement français admet désormais (au bout d’un an et après avoir assuré le contraire lors du premier confinement, rappelons-le) que les risques de contaminations en extérieur sont faibles (en fait, quasi-inexistants, ce qu’il semble avoir été le seul à ignorer à l’époque)…

Oui, mais… À Lyon, il y a peu, une foule rassemblée fin mars sur les quais de Saône n’avait donné lieu qu’à des verbalisations, le préfet n’ayant pas osé ordonner l’évacuation des réfractaires à la dictature sanitaire, mais qu’en sera-t-il si de tels rassemblements se multiplient, les beaux jours arrivant et le doute dans la gravité de la pandémie s’accentuant ?

Hypothèse alarmiste ? Pas moins alarmiste, en tout cas, diront certains, que les déclarations de ces scientifiques qui n’ont cessé de se relayer dans les médias pour faire pression sur l’Élysée afin qu’on enferme de nouveau leurs compatriotes. Jusqu’à toujours plus tard et quoiqu’il en coûte…

Philippe Randa publié récemment Virus farces et attrapes (Dualpha). Pour commander ce livre, cliquez ici.

Virus farces et attrapes, Philippe Randa (Dualpha).

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez au 06 77 60 24  99

Partager :