10 janvier 2021

Le cirque Véran-Macron, seul spectacle autorisé

Par Philippe Randa

Le docteur Perronne s’était rendu célèbre en 2020 en publiant son livre Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? (Albin Michel) ; on pourrait le parodier en soupirant, effondré : Finiront-ils par réussir une chose, une seule ?

« Ils », c’est nos gouvernants, bien sûr, fanfaronnant sur les ondes qu’on allait voir ce qu’on allait voir avec la vaccination qui allait tout régler. Peut-être que oui, peut-être que non, faut-il encore qu’elle ait lieu et même ça, « ils » ne l’auront pas réussi en temps et en heure… 40 % (seulement) des Français sont prêt à s’y soumettre, c’est leur choix, leur droit, leur espoir, mais combien seront-ils encore à le vouloir dans les semaines qui viennent si le spectacle de cette pantalonnade vaccinale continue en France ?

On s’attendait, en ce début janvier, à un troisième reconfinement après les « excès » annoncés des Fêtes de Noël et du Nouvel An : à ce jour, n’a été appliqué qu’une grotesque augmentation de deux heures du couvre-feu dans les régions où la contamination (et non le nombre de morts, toujours extrêmement bas) est la plus grande. Mesure à l’évidence parfaitement inutile pour ralentir la pandémie, mais paralysant un peu plus encore l’activité économique du pays en général, des commerces en particulier et enquiquinant (terme poli) comme il se doit le quotidien la vie des Français concernés.

Au Moyen Âge, les chevaliers du Guet étaient censés sécuriser les rues de Paris en clamant tout au long de leurs pérégrinations nocturnes : « Le guet veille ! Il est onze heures, bonnes gens ! Dormez, le guet veille ! Il est minuit, bonnes gens ! Dormez, le guet veille ! »… et les canailles, aigrefins et autres coquins les entendant de loin, avaient ainsi tout le temps de s’en écarter pour se mettre à l’abri.

À notre époque de grande dinguerie vérano-macronienne, résonne désormais une autre clameur : « De 18 heures à 6 heures, enfermez-vous chez vous, braves gens, le guet y veille ! »

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