L’UE veut limiter la liberté d’expression sur les réseaux sociaux
Le Vlaams Belang vote contre le rapport de l’UE visant à limiter la liberté d’expression sur les réseaux sociaux. Le Parlement européen vient de voter un rapport sur l’ingérence étrangère dans les processus démocratiques de l’UE. Le Vlaams Belang a résolument voté contre. Voici pourquoi: Le rapport qui a servi de base aux débats évoque, entre autres, les cyberattaques chinoises et russes. Il s’agit en effet d’une menace hybride pour laquelle nous devons rester extrêmement vigilants, mais le texte présenté au vote ne s’arrête malheureusement pas là. En effet, ce texte lance également une attaque frontale contre les réseaux sociaux et la liberté d’expression en général.
Désinformation?
Le principe de départ de ce texte est que les médias sociaux tels que Facebook et Twitter seraient des sources de désinformation, de fausses nouvelles, de discours de haine et de théories du complot. Le Vlaams Belang se méfie de ces termes usés jusqu’à la corde par le complexe politico-médiatique où libéraux et marxistes forment une alliance déterminée à museler les nationalistes. Pour nous, les vraies fausses nouvelles sont facilement réfutées par le libre débat, par la libre collecte d’informations et le jugement personnel du citoyen, son libre arbitre. La préoccupation légitime concernant les fausses nouvelles et la désinformation en tant que menace hybride est instrumentalisée pour délégitimer certaines vérités pourtant évidentes à quiconque a des yeux pour voir et des oreilles pour entendre, comme le Grand Remplacement par exemple. Cette volonté de contrôle autoritaire de l’information de la part de l’Union européenne montre également un paternalisme méprisant à l’égard des citoyens européens, car elle présuppose que seul l’autorité gouvernementale, et non le citoyen, est capable de distinguer la réalité de la fiction.
L’utilisation généralisée d’Internet et des médias sociaux a sans aucun doute entraîné une explosion de nouvelles douteuses de toutes sortes dans tous les domaines de l’activité humaine, c’est indiscutable. Il faut aussi constater que le rôle des médias traditionnels a considérablement diminué en raison de l’essor des médias sociaux. C’est là le vrai problème. Les médias et le pouvoir politique voient là leur chance de restaurer leur monopole, quitte à museler les citoyens et à instaurer un système autoritaire, voire totalitaire, de contrôle de l’information. En réalité l’enjeu est gigantesque puisqu’il s’agit ni plus ni moins de la survie de notre démocratie.
On tord le cou à la démocratie
Si demain les règles préconisées sont appliquées on assistera à une censure proactive sur les plateformes technologiques. Ils veulent également étendre la réglementation des services numériques (DSA) en limitant les publicités politiques. Il s’agit clairement d’une attaque contre la démocratie et la liberté d’expression. La question reste de savoir ce qu’est exactement la désinformation et qui déterminera ce qui l’est ou pas. La Commission européenne veut laisser cette tâche aux fonctionnaires. Nos concitoyens doivent savoir que ce qui se concocte au-dessus de leur tête au niveau européen leur est extrêmement préjudiciable. La démocratie n’a jamais été autant en danger qu’aujourd’hui depuis la fin de la Deuxième guerre mondiale. Bien sûr, le Vlaams Belang et ses alliés européens se battront sans relâche pour briser cet élan totalitaire.
Article paru sur le site du Vlaams Belang Bruxelles.
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