Ligue des Droits de l’Homme… intolérant !
La Ligue des Droits de l’Homme (LDH) bouge encore. Mieux, cette association qui se veut plus laïque que la République, souhaite poursuivre un combat devant le Conseil d’État contre le Maire de Beaucaire, Julien Sanchez, sur une affaire mettant en péril la France à savoir, faut-il ou non mettre une crèche dans une Mairie, un Conseil départemental et que sais-je encore !
Jamais la nativité n’avait autant fait couler d’encre dans notre pays. Jamais des associatifs ne se sont montrés aussi acharné contre une représentation qui existe en France depuis plus d’un millénaire. Cette obsession devient suspecte finalement. Elle traduit probablement un état politique, une volonté de nuire, une hantise quasi maladive. Un tic plus proche du toc et qui devrait alerter nos juges.
La LDH, association autoproclamée des droits de l’homme se prépare à verser quelques milliers d’euros au Conseil d’État, à obliger le Maire de Beaucaire à se défendre et à financer sa défense. Tant d’argent dépensé pour une représentation qui ne dure finalement que peu de temps.
Qui finance la LDH ?
La LDH n’a rien de plus urgent que de financer ces batailles d’arrière-garde, ces combats gauchistes de laïcards, ces marottes de bouffeur de curés, alors même que ceux-ci s’islamisent à grande vitesse.
La LDH n’a plus rien d’une ligue, ne défend plus rien et surtout pas les « droits de l’homme » compte tenu de ce qui se passe dans le monde et dont elle se moque royalement. Non, elle fouille dans les poubelles de tous ceux qui ne sont pas dans ses choix politiques, c’est-à-dire à gauche.
Les « droits de l’homme » sont vus comme un moyen financier, une façon de se faire un peu d’argent devant et grâce à des tribunaux sensibles aux discours moralisants. Un p’tit boulot qui consiste à relever les discours forcément « fascistes », des éditeurs de journaux en ligne qui refusent l’islamisation. Son p’tit boulot, consiste à soutenir les déserteurs, ces fameux migrants.
En fait, elle poursuit un engagement politique, servant à discréditer tout ce qui ressemble de près ou de loin à un patriote, à un Européen de souche, à une association de défense des valeurs nationales jugées par elle comme fasciste.
Tout ce qui peut faire son gras est bon à prendre, y compris une crèche qui est le symbole d’une naissance, d’un passé chrétien, pour ceux qui sont croyants, mais surtout le moment festif par excellence pour les enfants.
La LDH me rappelle ces révolutionnaires, ces « sans-culottes » qui dévalisaient les Églises, renversaient les tombeaux des Rois de France à Saint-Denis, pillaient les abbayes, exécutaient les prêtres qui refusaient de prêter le serment à la République.
La LDH me fait penser à ces cavaliers de l’apocalypse en Vendée, cherchant à éradiquer tout ce qui pouvait ressembler à du Chrétien.
Qu’est-ce que c’est que cette Ligue ? La Ligue française pour la défense des droits de l’homme et du citoyen est une association (loi 1901) visant à l’observation, la défense et la promulgation des droits de l’homme au sein de la République française, dans tous les domaines de la vie publique.
Elle a été fondée en 1898 par le sénateur de la Gironde Ludovic Trarieux. Françoise Dumont est élue présidente en mai 2015. Jean-François Mignard est élu secrétaire général le 25 mai 2015. À partir de la fin du XXe siècle, la défense du droit des étrangers fournit la plus grande partie de son activité contentieuse.
Cette dernière occupation est en fait son obsession première qui peut s’expliquer par un passé un peu trouble : durant l’entre-deux-guerres, la LDH est, en effet, sur le plan colonial, sur une position plus proche de la SFIO que de l’anticolonialisme du Parti communiste, représentée par l’assimilationniste généreux Marius Moutet, ce membre du comité central de la LDH qui sera Ministre des Colonies sous le Front populaire.
Ce même Front Populaire qui vota les pleins pouvoirs à Pétain en 1940 sauf, je lui accorde, Marius Moutet.
Pour autant, c’est ce même Moutet qui supprima le bagne en Guyane. Aujourd’hui, beaucoup le regrettent pour accueillir toute cette jeunesse qui s’ennuie dans nos cités et passe son temps à rendre la vie épouvantable pour leurs voisins et pour la société.
On notera au passage que la LDH avait une vision des droits de l’homme à géométrie variable après la IIe guerre mondiale : l’essentiel du travail de la Ligue consiste à se concentrer sur la lutte contre les abus et les violations du droit commun, tout en restant pour la majorité de ses membres très favorables à la colonisation. Ce dont elle ne se vante pas aujourd’hui !
Pour autant, Émile Kahn, son secrétaire général de 1932 à 1953, puis son président de 1953 à 1958, incarnait comme de nombreux socialistes, une tendance favorable à la mission civilisatrice de l’Empire colonial français. On se souvient des réflexions de Jules Ferry et de Léon Blum (socialistes) sur le devoir des races supérieures envers les races inférieures.
Nous savons que le cheval de bataille de la LDH est la défense de l’immigré. N’essayez pas de vous plaindre d’insultes racistes anti-blancs, c’est voué à l’échec. Blancs, chrétiens et de souche (ou non), ne sont pas les bienvenus.
Une crèche devient alors vite une insulte pour tous les immigrés d’origine musulmane. Il ne faut pas choquer l’immigré…
La LDH aurait matière à attaquer en justice le Coran qui déborde de versets meurtriers et misogynes, mais il préfère s’attaquer aux chrétiens, aux Crèches et aux municipalités du Front National.
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Philippe Randa,
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