30 mai 2021

Le côté obscur des GAFAM

Par Philippe Randa

Facebook, tout puissant réseau social en ligne, est un des géants du Web aux côtés de Google, Apple, Amazon et Microsoft (les GAFAM). Un géant qui a sa conception très particulière de la liberté d’expression.

« On l’a vu récemment avec la censure de Trump : les réseaux sociaux pensent avoir le devoir de censurer. Ils sont conçus pour cela et lorsqu’ils censurent mal ou trop peu ils se voient accuser de laxisme anti-démocratique. La censure, devenue partie intégrante de leur ADN permet de modérer l’opinion générale. Le premier élève de la classe dans ce domaine est aussi le plus ancien : Facebook », lit-on sur le site de l’Observatoire du journalisme (www.ojim.fr).

Celui-ci attire ainsi notre attention sur l’utilisation d’un robot censeur qui fait la fierté de son créateur : Mark Zuckerberg a déclaré en fin d’année 2020 avoir désormais à sa disposition un redoutable limier « capable de faire le lien entre les images et les textes afin de détecter si le propos est “haineux” ou non » ; il aurait ainsi pu réduire de moitié les contenus qu’il juge incorrects, enfin surtout politiquement incorrects, cela va de soi, car sa définition de la haine reste «  un mystère curieusement porté vers l’arbitraire libéral libertaire. »

On est loin des sympathiques robots comiques de Star Wars !

C-3PO, « droïde de protocole se plaisant à répéter qu’il maîtrise plusieurs millions de formes de communication » et, de fait, bavard impénitent, ne consternera plus le sage R2D2, en lui déclarant : « Tu vois toute cette agitation (…) vraiment nous sommes bien mal considérés malgré tout ce qu’on fait ! »

Mark Zuckerberg, lui, n’hésite pas à communiquer comme il se doit sur la si redoutable et détestable efficacité de son « droïde d’intolérance ».

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