24 avril 2022

Contre-offensive anti-woke

Par Philippe Randa

Certains médias sont trop contents de marteler que l’offensive de la dinguerie « woke » est un raz-de-marée désormais irréfrénable pour s’imposer dans la société ; enfin, surtout et quasi-uniquement dans les sociétés occidentales, semble-t-il ; ailleurs, c’est moins évident (sic !)…

Mais autant en emporte la folie, la contre-offensive semble être lancée outre-atlantique depuis le pays de Scarlett et plus précisément de l’université de Viriginie à l’instigation de la Young America’s Foundation.

Cette association propose à des « commentateurs, hommes politiques et animateurs radio (de) plancher sur “comment sauver l’Amérique de la gauche woke”. »

Ainsi, leur invité récent fut Mike Pince, ancien vice-président de Donald Trump, qui n’a pas mâché ses mots en dénonçant « l’endoctrinement politique (qui remplacerait) l’éducation patriotique. »

Et de vilipender comme il se doit la résistance face au déferlement de la « cancel culture », dénoncée non seulement comme une somme de bêtise intellectuelle et une promotion de haine raciale (anti-blanche tout autant qu’anti-jaune ou anti-juive), sexuelle (anti-homme autant qu’anti-femme), politique (anti-patriotique), et comme une atteinte à toute « tradition d’excellence » (un étudiant rappella notamment l’aberration de cette nageuse transgenre, ancien nageur homme, fier d’avoir « gagné » une course de femme).

Le politologue Larry Sabato note cette opposition désormais bien réelle au sein des campus universitaires et envisage ses conséquences électorales : « Mettre ces deux camps dos-à-dos, répéter cet antagonisme à travers les campus, meetings de campagnes et sur les réseaux sociaux est une façon très efficace de mobiliser l’électorat de droite (…) Ce sont ces gens qui viennent voter aux primaires. »

Ce constat fait ainsi référence aux paroles de Mike Pince, martelant pour la plus grande satisfaction des étudiants venus l’applaudire : « La gauche a passé des années à essayer de provoquer une guerre culturelle… Eh bien ! il semblerait qu’ils l’aient enfin lancée… et qu’ils soient en train de la perdre. »

Qui a dit, déjà, que « le désespoir en politique est une sottise absolue » ? Ah oui ! un certain Charles Maurras… et force est de constater que la sentence du « Vieux Maître de Martigues » vient battre en brêche, une fois encore, les certitudes de tous ceux qui prennent leurs fantasmes idéologiques pour des réalités acquises.

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