1 août 2021

Le droit d’asile dans le collimateur de la gauche ? Oui, mais au Danemark !

Par Philippe Randa

Il faut un début à tout, n’est-ce pas ? Ainsi, le Danemark vient-il d’innover dans un début de commencement de solution dans le scandale des procédures d’asile abusives : le 3 juin dernier, « le parlement a soutenu un texte prévoyant que les procédures d’asile soient menées dans un état tiers hors Union européenne », c’est-à-dire, comme l’explique la conseillère nationale de l’UDC en Suisse, Céline Amaudruz : «  Au terme du processus, seuls les requérants admis pourront gagner le Danemark pour être pris en charge. »

Le gouvernement danois démontre ainsi qu’on peut être de gauche sans être naïf, souligne-t-elle.

Certes, faut-il encore qu’un État tiers héberge les centres d’accueil, mais, ajoute la conseillère de l’UDC : « Les avantages sont indéniables. Le coût des procédures sera réduit et le problème du retour des requérants déboutés ne se posera pas. Ce procédé aura sans aucun doute un effet bénéfique au niveau de la délinquance importée puisqu’elle n’atteindra plus le territoire danois, mais sera au contraire traitée selon les normes du pays tiers, généralement moins agréables que celles qui prévalent au Danemark. »

En attendant, l’UDC entend pour sa part « exiger l’expulsion immédiate des requérants délinquants et la suppression de l’avocat gratuit, comprenez à la charge du contribuable, dont le rôle est de prolonger le séjour de celles et ceux qui doivent s’en aller. »

Cet aspect particulièrement scandaleux des procédures de demandes d’asile est rarement abordé, mais, effectivement, pour certains cabinets d’avocats spécialisés, il s’agit d’un juteux business puisqu’en France notamment, pratiquement tous les demandeurs bénéficient d’un avocat rémunéré par l’aide juridictionnelle (AJ) ou par eux-mêmes.

La Cour nationale du droit d’asile (CNDA) est donc devenue la source principale des revenus de beaucoup d’avocats du Barreau de Paris, y compris quelques avocats hautement spécialisés dans la défense des demandeurs d’asile.

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