Union européenne. Le Polonais Donald Tusk, président du Conseil européen sortant est le seul candidat en lice pour devenir le prochain président du Parti populaire européen (PPE). Il remplacera l’Alsacien Joseph Daul. Le mandat est de trois ans, renouvelable indéfiniment. Et douze candidats briguent déjà les vice-présidences.
Les deux commissaires européens en charge des questions économiques – Valdis Dombrovskis et Pierre Moscovici –, mettent en garde huit pays de la communauté pour leur laxisme : France, Italie, Slovénie, Slovaquie, Finlande, Espagne, Portugal et Belgique. Notamment en matière de réduction de la dette.
Angleterre. C’est au tour de Boris Johnson d’être englué dans une histoire de sexe et de corruption. Une femme d’affaires américaine, Jennifer Arcuri, outre le fait d’avoir été la maîtresse du Premier ministre – « il m’a jeté comme si j’étais une créature maléfique » –, aurait bénéficié de financements publics quand il était maire de Londres. La dame s’épanche sur la chaîne ITV.
Le dernier fils de la reine, Andrew, 59 ans, très ami avec l’ex-financier Jeffrey Epstein, récuse le fait d’avoir contraint Virginia Roberts à des rapports sexuels, et ce à trois reprises. La presse britannique le brocarde allègrement.
C’était l’événement phare à Londres la semaine dernière : une grande vente de passeports dorés à 100 000 euros. En fait, le gouvernement britannique offre la citoyenneté aux super riches de la planète en contrepartie d’investissements dans le royaume. Ce qui ouvre évidemment une liberté de déplacement dans l’espace Schengen. Inutile de dire que ça coince à Bruxelles.
Danemark. Pas question pour le gouvernement social-démocrate d’offrir une quelconque assistance consulaire aux djihadistes danois dans les ambassades à l’étranger. « Nous ne devons absolument rien aux djihadistes partis en Syrie et en Irak (…) c’est pourquoi nous leur barrons l’accès à toute aide consulaire ». Exemple à suivre.
Grèce. Les centres d’accueil de migrants des trois îles – Lesbos, Chios, Samos –, vont être remplacés par des structures fermées de 5 000 places chacune, fermant ainsi l’accès à la libre circulation, le temps de les identifier et de décider de leur relocalisation. Malgré l’opposition de gauche, le gouvernement refuse de reculer quitte à provoquer des tensions.
Hongrie. Le gouvernement hongrois a accepté une amende de 500 milliards de forints (1,5 milliard d’euros) infligée par la Commission européenne en raison de multiples fraudes aux subventions européennes constatées sur l’exercice 2014-2020.
Irlande. En raison du Brexit, le chef du Sinn Fein a réclamé un référendum pour justifier la réunification irlandaise dans une seule et même entité territoriale. « Laissons le peuple décider », a déclaré Mary Lou McDonald. Les Anglais risquent fort de n’être pas d’accord.
Italie. L’État a décrété l’état d’urgence à Venise après la marée exceptionnelle qui a envahi la cité lacustre a annoncé le président du Conseil, Giuseppe Conte, ajoutant que 20 millions d’euros allaient être débloqués pour les interventions urgentes.
Suisse. Au Conseil des États, la présidente Rose-Verte, Regula Rytz a essuyé un violent échec dans le canton de Berne qui préfigure mal son éventuelle candidature au Conseil fédéral. Si les socialistes l’emportent à Berne, les identitaires de l’UDC confirment leur bonne santé en la personne de Walter Salzmann.
Idem dans le Tessin. Le canton italophone porte Marina Carobbio Guscetti au Conseil des États. Pour 45 voix, la socialiste éjecte le PDC sortant Filippo Lombardi. Elle siégera aux côtés de l’UDC Marco Chiesa. L’alliance PDC-PLR échoue complètement les deux partis perdent leur siège.
Tchécoslovaquie. Plus de 200 000 personnes ont investi, samedi 16 novembre, le centre de Prague pour demander le départ du Premier ministre milliardaire, Andrej Babis, accusé de corruption.
Vatican. Le pape François, jésuite de son état, se rendra au Japon du 23 au 26 novembre. Ce pays a toujours fasciné les jésuites qui furent parmi les premiers persécutés du XVIe au XIXe siècles. Il y a environ 1 million de catholiques au pays du Soleil Levant dont la moitié sont des étrangers.
EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !
Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !
EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.
Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.
Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.
EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.
Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.
Quatre solutions pour nous soutenir :
1 : Faire un don par virement bancaire
Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP
2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)
Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés
à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France
4 : Faire un don par carte bancaire
Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24 99
Navigation de l’article
Journaliste professionnel, directeur du « Journal du Chaos ». Animateur de l'émission « Artisans de France » sur TVLibertés avec Pierre Chabot. A collaboré à « L'islamisation de la France. Fantasme ou réalité ? » (Éditions de L'Æncre, 2015). Il vient de publier un « Guide sulfureux du Paris “réac & facho” » (Éditions Synthèse nationale).