Brèves d’Europe
Union européenne. Sur la période 2019-2023, les pays européens ont doublé leurs importations, 55 % des matériels provenant des US (contre 35 % auparavant) et 51 % de France ou d’Allemagne. Plus gros importateur en Europe : l’Ukraine qui a augmenté ses commandes de 6 600 % pour devenir le 4e importateur mondial.
Allemagne. Alors que la droite, les Verts et les libéraux réclament la livraison des missiles à Kiev, la majorité des Allemands s’oppose à cette idée. Près de 60 % d’entre eux ne prendraient pas non plus les armes en cas d’attaque de leur pays. Espagne. Lors du vote organisé jeudi 14 mars à la Chambre des députés, ceux-ci ont dit oui à la loi d’amnistie pour les indépendantistes catalans condamnés ou poursuivis pour la tentative de sécession avortée de 2017. Son adoption définitive est prévue pour mai.
Belgique. Une douzaine de fusillades, dont une mortelle, apparemment liées au trafic de drogue ont eu lieu dans la capitale belge, Bruxelles. Jusqu’alors, c’était plutôt le port d’Anvers qui était visé celui-ci étant l’une des principales entrées de la drogue en Europe.
Irlande. À une large majorité, les Irlandais ont rejeté le 8 mars les propositions du gouvernement visant à « moderniser » la Constitution. Ce référendum comportait deux questions. La première proposait d’élargir la définition de la famille, caractérisée actuellement dans la Constitution par le seul mariage, pour inclure également les « relations durables », comme les couples en concubinage et leurs enfants. La seconde question envisageait d’effacer la clause dite « des femmes à la maison », qui évoque les « devoirs des mères au sein du foyer ». 73,9 % de non ! Une claque pour le Premier ministre de centre droit, Leo Varadkar.
Portugal. Onze millions de Portugais étaient appelés aux urnes pour élire les députés de l’Assemblée de la République. Aucune majorité ne s’est dégagée. Ni le parti socialiste (28,7 %), ni la coalition de centre droit (29,5 %). Le parti populiste Chega avec 18,1 % arrive en troisième position et obtient 48 sièges.
Russie. Selon CNN (citant les renseignements US et UE), la « machine de guerre russe » tourne aujourd’hui « à plein régime » avec 3,5 millions de Russes employés par le secteur de la défense. La Russie produit désormais 3M d’obus par an là où les US et l’UE combinés ne peuvent en fournir qu’1,2 M par an à l’Ukraine. En dépit des embargos partiels décidés par la Grande-Bretagne et l’Amérique, les activités nucléaires russes échappent largement aux sanctions. Depuis la guerre, Rosatom a lancé la construction de plusieurs réacteurs en Égypte, en Chine ou encore en Turquie. Le groupe russe est le premier exportateur de centrales nucléaires au monde.
Vingt heures après l’attentat qui a coûté la vie à 137 personnes dans un centre proche de Moscou, Vladimir Poutine a annoncé l’arrestation de quatre suspects. Les quatre hommes se dirigeaient vers l’Ukraine. Poutine a accusé Kiev d’être derrière cet attentat. Mais ce serait bien Daech qui en serait l’auteur. Payé par l’Ukraine ? Les quatre assaillants présumés de l’attaque du concert, trois seraient des citoyens du Tadjikistan, pays pauvre d’Asie centrale dont la diaspora russe fait le cœur de Moscou. Ils forment une sorte de lumpenprolétariat pour y construire métro, avenues pavées, main d’oeuvre, etc. Pour Maria Zakharova, porte-parole du ministre des Affaires étrangères russe : « Par une étrange coïncidence, ces dernières années l’État islamique a ajusté ses plans et mène désormais des attaques principalement contre les ennemis et adversaires des États-Unis. »
Ukraine. Le général Valery Zaloujny, ancien chef d’état-major de l’armée ukrainienne limogé par le président Volodymyr Zelensky devient ambassadeur au Royaume-Uni, un poste stratégique s’il en est.
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