20 octobre 2020

Demandeurs d’asile : les impostures dénoncées par Philippe Randa

Par Philippe Randa

« Russe d’origine tchétchène réfugié en France, Abdoullakh A., 18 ans, avait fait des repérages devant le collège de Conflans où travaillait Samuel Paty… » (Libération, 17 octobre 2020)

Suite à la décapitation d’un professeur d’histoire français par un islamiste, nous republions l’entretien que Philippe Randa avait accordéau quotidien Présent lors de la parution de son livre Le Roman noir des Demandeurs d’asile, préface de Jean-Yves Le Gallou aux éditions de L’Æncre.

Philippe Randa : Les “sans-papiers” sont une imposture volontaire de langage

« Toutes les demandes (d’asile) ne se valent pas
et il faut pouvoir les hiérarchiser.
Il faut être lucide et avoir bien conscience
des pays d’où viennent les abus,
sans stigmatiser les populations.
Une part non négligeable de la demande d’asile
correspond en réalité à de la migration économique »
(Manuel Valls, mai 2013)

Pourquoi vous êtes-vous intéressé à ce sujet ?

Sur la question des demandes d’asile, je me suis aperçu que l’opinion publique a été fortement marquée par les réfugiés chiliens dans les années 70 du siècle dernier après le putsch du général Pinochet au Chili : la propagande de gauche et d’extrême-gauche ont convaincu nombre de nos compatriotes que tout opposant chilien était alors systématiquement torturé et exécuté, sans jugement aucun et cela même plusieurs années après la chute de Salvadore Allende… Fortement marqué par cette manipulation, les Français sont pour beaucoup ignorants des réalités de la question des Demandeurs d’asile en cette deuxième décennie du XXIe siècle… Dans leur esprit et quelles que soient leurs propres opinions politiques, de telles demandes sont peu ou prou légitimes sur le fond… Mais cette vision, c’était avant ! Depuis longtemps, la majorité des demandes d’asile s’avère être uniquement de la migration économique. Avec deux mamelles – les trafics humains d’une part et les subventions aux associations d’autre part – où s’abreuvent quantité d’acteurs peu scrupuleux.

Ce n’est d’ailleurs pas seulement vous qui l’affirmez…

Non, comme je l’ai indiqué en introduction de mon livre, Manuel Valls l’a lui-même reconnu dans les colonnes du Monde, en mai 2013…

Votre livre est-il exhaustif ?

Comment pourrait-il l’être, alors que chaque jour, nous assistons à de nouveaux coups de boutoirs d’une immigration-colonisation pas même ralentie, contrairement aux affirmations de nos gouvernants… On ne peut d’ailleurs plus le dissimuler : les tentatives de pénétration du continent européen via par exemple l’île de Lampedusa font désormais régulièrement la une de l’actualité… mais généralement lorsqu’un drame humain se produit, soit lorsqu’un bateau où se sont entassés des centaines de femmes et d’hommes fait naufrage avant d’avoir pu atteindre les côtes… Les associations pro-immigration jouent alors sur la pitié, non seulement pour culpabiliser « l’homme blanc », mais aussi pour récolter des fonds : l’un n’empêche pas l’autre, mais surtout, l’un est très profitable à l’autre : Y’a bon la culpabilisation !

Vous dénoncez ainsi les maffias qui tirent profit de ces demandes d’asile…

Elles sont régulièrement dénoncées, mais très difficilement mises en périls. Et pour cause ! Les multiples associations politisées à outrance – dont beaucoup sont financées sur fonds publics – n’hésitent jamais à monter aux créneaux, sous tous les prétextes possibles, pour entraver l’action des forces de l’ordre ; quant à la Justice où les membres du Syndicat de la Magistrature sont si nombreux, tout lui est bon pour laisser le temps aux pseudo-réfugiés de s’échapper dans la nature, de récupérer par des filières parfaitement au point de « faux-papiers » – rappelons que les « sans papiers » sont une imposture volontaire de langage pour apitoyer « l’homme blanc » et masquer l’image de ce qu’est réellement un clandestin : avant tout un délinquant ! – puis de lancer la procédure de naturalisation, aidés par les mercenaires de la cause imigrationniste : militants associatifs, avocats…

Vous consacrez d’ailleurs un chapitre à ces cabinets d’avocat spécialisés : vous parlez de juteux business…

Entre 2008 et 2012, les frais de dépenses liées aux contentieux des étrangers pour les préfectures ont doublé : de 8,5 millions d’euros, ils sont passés de 16,6 millions d’euros. Les « cochons de contribuables » apprécieront ! Chaque dossier rapporte entre 600 et 3 000 euros et certains avocats traitent jusqu’à 1000 dossiers par an. Des chiffres explicites, non ?

Vous révélez, documents à l’appui, que des sites africains font la promotion des « bons plans » du demandeur d’asile…

Un exemple parmi d’autres : un site sénégalais compare pour le demandeur d’asile les avantages respectifs des « bons plans », des « réfugiés clitoridiens » (le pack Clit’Cut®) et ceux des voyages sportifs ou artistiques (les packs immigr’Art® ou immiSport®)… Le chantage humanitaire à l’excision des petites filles ou à la persécution des homosexuels est effectivement très efficace ; il s’agit alors, simplement, de suivre avec une certaine rigueur, la procédure administrative… « La demande d’asile expliquée aux nuls », en quelque sorte !

Le roman noir des Demandeurs d’asile, Philippe Randa, préface de Jean-Yves Le Gallou, Éditions L’Æncre, collection « L’Essentiel », 150 pages, 21 euros. Pour commander ce livre, cliquez ici.

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Philippe Randa,
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