Caucus de l’Iowa : quand le grain de sable s’en mêle
Lundi dernier, 1er février, c’était le premier tour de piste de l’élection des candidats aux primaires démocrates ; suite aux dysfonctionnements dans l’organisation du vote, les résultats du caucus de l’Iowa – habituellement communiqués dans la soirée – n’ont été connus que très tardivement ; et encore, le lendemain ; et encore, partiellement ! D’où le commentaire assez général autant que lapidaire des médias : un fiasco !… sauf, on s’en doute, pour les Républicains qui n’ont guère caché leur joie : « Les démocrates sont dans tous leurs états à cause d’un bazar qu’ils ont eux-mêmes créé, c’est le pire ratage de l’histoire », a estimé Brad Parscale, directeur de campagne d’un Donald Trump qui, de son côté, a estimé sur Twitter que les caucus démocrates étaient « un véritable désastre » : « Rien ne fonctionne [avec eux], comme lorsqu’ils dirigeaient le pays. »
L’élection est tout de même loin d’être jouée et le résultat final aura bien d’autres causes que l’image renvoyée par le ratage de ce « coup d’envoi » du camp démocrate ; d’autre part, le « vainqueur » de celui-ci, Pete Buttigieg, étant le premier homme politique de l’Indiana (où il est maire de South Bend) à avoir reconnu son homosexualité, parions sans trop de risque que cette singularité par rapport aux autres candidats risque fort d’être rapidement au centre des débats si sa victoire n’est pas sans lendemain.
On peut néanmoins se réjouir de ce « fiasco » sans être pour autant « trumpiste » ni hostile aux Démocrates américains, pas plus qu’aux États-Unis d’Amérique, mais – bien au-delà de l’élection américaine dont ce billet n’entend nullement traiter – pour une tout autre raison : ce « fiasco » nous rappelle que la marche du Monde, quel qu’il soit, est toujours « menacée » par un grain de sable… et que nul ne peut jamais prédire de l’avenir… Et donc, comme Charles Maurras, répétons-le une fois encore pour convaincre ceux qui douteraient de notre propre avenir : « Le désespoir en politique est une sottise absolue ! »
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