6 décembre 2022

Y a-t-il encore un État ou faut-il croire que la France est devenue un domaine du non-droit ?

Par Bernard Plouvier

Dans les Deux-Sèvres, près du petit paradis des assureurs mutualistes, on a connu il y a peu une émeute, durant laquelle de merveilleux écolo-gauchos – des trotskistes fifils-à-papa ultra-friqués – se sont amusés à casser du gendarme, imaginant que, vu les relations de papa et/ou de maman, ils le faisaient en quasi-impunité.

Pari gagné ! Un tribunal – pourtant contesté par la défense !!! – a condamné les 5 émeutiers jugés à une peine de prison assortie du sursis. On ne jugeait, d’ailleurs, que quelques-uns des voyous qui avaient agressé les gendarmes et, cerise sur le gâteau, on ne les condamne qu’à une peine symbolique.

On aimerait savoir ce que pensent les deux dizaines de gendarmes hospitalisés – sur une soixantaine de blessés. Vont-ils continuer à servir une Ripoublique où les fils-à-papa de la gauche extrême et néanmoins ultra-friquée rejoignent dans l’impunité les émeutiers des banlieues surpeuplées d’immigrés exotiques ?

Car cette curieuse « décision de Justice » est, sinon un appel au meurtre de membres des forces de l’ordre, du moins un encouragement à la résistance aux autorités et à la poursuite des violences en bandes organisées.

Nous savions déjà que le milieu des politiciens de notre édifiante démocratie ressemblait fort à une mafia. Il faut désormais considérer qu’il existe un déclin de la notion d’autorité légitime, puisque les magistrats, qui condamnent sévèrement les poseurs de banderoles opposés à une immigration illégale – illégale, puisque jamais l’on n’a demandé son avis sur l’immigration-invasion au souverain légitime de l’État, soit le corps électoral –, se montrent étonnamment doux avec des émeutiers « de gauche ».

Dans notre État en voie de décadence accélérée, existerait-il une « Justice à double face » ? Cela définirait un pseudo-État mafieux ou, si l’on préfère, une « République bananière ».

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez au 06 77 60 24  99

Partager :