29 avril 2023

Belgique : La facture de l’asile s’élève à plus d’un milliard d’euros

Par article conseillé par EuroLibertés

La facture de l’asile dépasse actuellement la barre du milliard d’euros. C’est la conclusion d’une enquête menée par le Vlaams Belang sur la base de toute une série de questions écrites posées dans les Parlements et d’un examen minutieux des tableaux budgétaires.«Un milliard d’euros dans un gouffre sans fond. Au contraire, l’effet d’aspiration n’en est que renforcé» constate le président du Vlaams Belang, Tom Van Grieken. Le Vlaams Belang tire donc la sonnette d’alarme et formule un certain nombre de propositions sérieuses, dont l’obligation en cas de fraude à l’asile de rembourser intégralement la procédure et l’idée d’exiger une garantie aux demandeurs d’asile.Avec le nombre affolant des demandeurs d’asile, la facture de ce phénomène explose littéralement, alors que le budget de l’asile avait déjà atteint le sommet astronomique et historique de plus de 700 millions d’euros (703.396.000 pour être précis). La révision budgétaire d’il y a trois semaines a décidé d’y allouer 158 millions d’euros supplémentaires ce qui a pou effet immédiat de faire grimper la facture à pas moins de 861 millions d’euros.

Près de 140 millions d’euros de coûts cachés

Mais cela ne s’arrête pas là. En réalité, la facture totale de l’asile s’avère bien plus élevée qu’officiellement supposée. De nombreuses dépenses sont éparpillées ici et là sur divers postes budgétaires. Il s’agit de plus de 140 millions d’euros de coûts «cachés», comme par exemple plus de 45 millions d’euros qui vont au Commissariat général aux réfugiés et aux apatrides (CGRA), qui est chargé d’évaluer les demandes d’asile. L’Office des étrangers, qui enregistrent les demandes d’asile, reçoit quant à lui 22 millions d’euros.

Sur la base des tableaux budgétaires et de toute une série de questions écrites formulées par ses élus, le Vlaams Belang est arrivé à la conclusion que le coût réel de l’asile dépasse désormais la somme d’un milliard d’euros et culmine même à 1.002.375.306 euros. «Pour être clair, cela ne concerne que coût de l’asile au sens strict du terme. Les coûts auxquels nous sommes confrontés en raison de décennies de mauvaise gestion de l’asile et de la migration ne sont pas du tout inclus dans ce chiffre déjà hallucinant. Si nous comptabilisons l’ensemble de la facture historique du phénomène, nous devons parler de plusieurs milliards d’euros», précise Tom Van Grieken.

Ce qui rend le tout encore plus frappant, c’est bien sûr le fait que la grande majorité des demandeurs d’asile ne répondent pas du tout aux critères pour faire appel au droit d’asile. En effet, pas moins de 59 % des demandes sont rejetées. Le Vlaams Belang évalue à environ 600 millions d’euros (587.391.930 euros pour être précis) la part du budget de l’asile qui va à ces demandeurs d’asile déboutés.

Faire payer les frais aux fraudeurs de l’asile

Le Vlaams Belang veut donc prendre des mesures immédiates pour réduire drastiquement la facture de l’asile. La proposition la plus importante est de faire rembourser les frais de procédure et d’accueil aux demandeurs d’asile qui ont commis une fraude précisément parce que ce sont les fraudeurs du droit d’asile qui sont responsables d’une grande partie des coûts. Il est donc logique qu’ils remboursent l’argent qu’ils nous ont fait gaspiller.

Pour dissuader les fraudeurs, le Vlaams Belang veut faire saisir les biens et les ressources des demandeurs d’asile en guise de garantie. Les montants inférieurs à 2.000 euros et les biens ayant une valeur affective personnelle seraient exonérés de la mesure. Lors de la décision définitive, cette garantie serait restituée au réfugié reconnu. Les demandeurs d’asile déboutés récupèreraient également leur caution, moins les frais encourus pour l’accueil. A condition bien entendu que l’intéressé se conforme à l’ordre de quitter le territoire. En cas de fraude avérée et de refus de quitter le territoire, la garantie servira à rembourser le coût de l’ensemble de la procédure et à payer les frais du rapatriement forcé.

Article paru sur le site du Vlaams Belang Bruxelles.

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez au 06 77 60 24  99

Partager :