7 septembre 2024

La vasque Olympique entre rêve et réalité !

Par Jill-Manon Bordellay

Durant les cérémonies  des jeux Olympiques, la vasque en forme de montgolfière s’élève à 30 mètres tous les soirs dans les airs à la tombée de la nuit   comme une étoile flamboyante que l’on peut admirer dans cinq lieux  à Paris.

Ces lieux sont devenus mythiques comme la place du Carrousel, comme les Champs-Élysées, le Centre de Paris , rue de Rivoli, le Parvis de la basilique du Sacré-Coeur et les quais entre la Monnaie de Paris et l’Assemblée nationale où chacun  s’émerveille devant le rituel de  l’événement.

Mathieu Lehanneur est le designer  de cette vasque de sept mètres de diamètre, considérée comme une œuvre magistrale. Elle n’est pas seulement une œuvre d’art, mais aussi une prouesse technologique et un hommage à l’histoire de l’aéronautique.

En effet, cette vasque rend hommage aux frères Montgolfier, pionniers de l’aérostation qui inventèrent en 1782 la première montgolfière.

Une montgolfière est un aérostat composé d’un panier surmontée d’une enveloppe remplie d’air chaud, ce qui assure la sustentation par la poussée d’Archimède issue de la différence de densité entre l’air chaud à l’intérieur de l’enveloppe et l’air ambiant.

Le premier vol officiel du ballon à air chaud a eu lieu Place des Cordeliers à Annonay en Ardèche, le 4 juin 1783.

Devant le roi Louis XVI, un autre vol se fait à Versailles le 19 septembre 1783 avec dans la nacelle un coq, un mouton, un canard, ce ballon s’envole alors jusqu’à environ 550 mètres de hauteur.

Quelques mois plus tard, c’est un vol humain qui a lieu avec un lâcher à la lisière du Bois de Boulogne.

Mathieu Lehanneur a puisé dans cette riche histoire pour concevoir une vasque unique, s’inspirant de la forme des montgolfières et  de leur symbolisme de liberté et d’innovation.

Mais ici le feu qui devrait élever le ballon n’est pas du feu !

La flamme olympique est éclairée par l’électricité et l’eau, sans recours aux combustibles fossiles. L’anneau à la base du ballon abrite 40 lumières LED qui éclairent un nuage de vapeur d’eau produit par 200 buses de brumisation à haute pression pour donner l’effet de scintillement et de fumée de vraies flammes, en résumé c’est l’illusion du feu sans le feu. Ce mécanisme particulier de la flamme intrigue beaucoup.

C’est pourquoi, Mathieu Lehanneur a planché durant trois ans avant d’aboutir à ce résultat , il explique : « Elle est constituée uniquement de lumière et d’eau. En fait, vous avez des spots, des projecteurs LED extrêmement puissants qui assurent la lumière, et puis de très fines particules d’eau qui sont brumisées. Donc c’est une flamme absolument propre. Elle n’est même pas “bas carbone”, elle est “pas carbone du tout”. »

Mathieu Lehanneur a conçu la vasque avec l’idée de marier la légèreté, la magie et la fraternité. Il a déclaré : « Légère, magique et rassembleuse, elle sera un phare dans la nuit et un soleil à portée de main dans la journée. Le feu qui y brûlera sera fait de lumière et d’eau, comme une oasis de fraîcheur au cœur de l’été. »

Cette vasque attire 10 000 personnes qui peuvent s’approcher dans le cadre historique du Jardin des Tuileries de 11 h à 19 heures.

Devant ce succès, le concepteur souhaite que la vasque devienne une installation permanente à Paris, perpétuant l’esprit des Jeux au-delà de l’événement.

La référence au voyage qui peut réunir les cinq continents comme le ballon que décrit Jules Verne dans les Cinq semaines en ballon (1863) serait aussi un symbole de fraternité pour les Jeux, mais surtout dans l’espoir d’une paix perpétuelle entre les hommes.

En effet, le ballon est un lien entre la terre et le ciel qui symbolise le besoin de liberté, il traduit aussi l’élévation de l’esprit qui voit plus loin.

Si bien que la vasque olympique serait une réalité souhaitable si elle restait en permanence au milieu du Jardin des Tuileries.

Les Parisiens aimeraient la voir s’élever tous les soirs comme un signe d’espoir et surtout comme un nouvel astre flamboyant qui tracerait dans la nuit un heureux destin pour les hommes.

Les rêves de chacun seraient empreints de voyages, de poésie et de liberté.

Alors laissons toutefois la décision  au Président de la République en espérant qu’il rejoigne nos rêveries !

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