14 novembre 2020

Il était un petit navire…

Par Paul Tormenen

Aux yeux de nombreux Français, des paquebots ont longtemps représenté la grandeur et le succès de notre pays. Ainsi, on pouvait s’enorgueillir que Le France était en 1960 le plus gros bateau du monde. Une autre réalisation des chantiers navals français est récemment sortie de l’oubli pour une autre raison. La charge symbolique est toute aussi révélatrice des maux de notre époque.

Le 29 octobre, un clandestin tunisien récemment arrivé en France a sauvagement assassiné trois personnes dans la basilique Notre Dame de l’Assomption à Nice. L’itinéraire du terroriste de Tunisie jusqu’en France a mis rétrospectivement en lumière l’extrême porosité des frontières tant italiennes que françaises.

Parti des côtes africaines quelques jours avant de commettre son acte barbare, l’islamiste tunisien a gagné clandestinement l’île italienne de Lampedusa. Les autorités italiennes ayant constaté qu’il était en situation irrégulière, Aoussaoui Brahim a fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire. Transféré sur le continent à bord du Rhapsody le 8 octobre, il a été laissé libre de ses déplacements, ce qui lui a permis de gagner la ville de Nice.

C’est donc dans un navire affrété par les autorités italiennes, le Rhapsody, que le Tunisien a, comme beaucoup d’autres clandestins, gagné les côtes italiennes. Ce navire est sorti des chantiers navals français sous le nom de Napoléon Bonaparte.

Un navire de luxe, climatisé, à l’origine français, a donc servi à acheminer un clandestin islamiste de l’île de Lampedusa à l’Italie continentale, ce qui lui a permis de commettre son geste abject en France. On trouve là une nouvelle illustration de l’incurie de certains États européens, qui facilitent la submersion migratoire du continent, en mettant à disposition des clandestins les moyens les plus sophistiqués.

Dans le même temps, l’agence de garde-côte et garde-frontière Frontex était mise en accusation par la Commission européenne pour avoir refoulé des clandestins entre la Turquie et la Grèce, le refoulement étant « une pratique illégale. »

Le chant de marins « il était un petit navire » se termine par : « Si cette histoire vous amuse, Nous allons la, la, la recommencer, Ohé ! Ohé ! ». De grâce, non, faites tout pour éviter qu’elle ne se répète !

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