Cette guerre civile continentale qui vient…
Le 18 décembre de l’année dernière, par la voix de Dimitris Avramopoulos, le Commissaire (non élu) de l’Union européenne en charge des Migrations (à l’instar des cigognes), la Commision déclarait : « EU is Too White, Mass Third World Migration Must Be ‘New Norm’ », en d’autres termes : « L’Europe est trop blanche, les migrations de masse, en provenance du Tiers-monde doivent être la norme ! »
Ainsi, selon Bruxelles, les Européens doivent accepter l’immigration massive du tiers monde comme la « nouvelle norme », les avertissant que ni les murs ni les politiques de légitime résistance ne permettront à une partie de l’UE de rester « homogène et sans migration ». Ainsi donc s’agit-il de détruire l’homogénéité du continent européen.
« Il est temps de faire face à la vérité. Nous ne pouvons pas et ne pourrons jamais arrêter la migration », précise Dimitris Avramopoulos, dans un article publié le lundi 18 décembre par la revue européenne Politico et intitulé « Les migrants européens sont là pour rester. »
Afin que les choses soient encore plus claires, l’Eurocrate laisse écrire que « la mobilité humaine définira de plus en plus le XXIe siècle », que la migration de masse est un sujet et que Bruxelles a engagé l’Europe « à long terme », déclarant : « La migration est étroitement liée à nos politiques économiques, commerciales, éducation et emploi – pour n’en nommer que quelques-uns. »
Le Commissaire en charge de la politique de migration souligne que Bruxelles ne voit pas l’asile comme un moyen d’offrir un répit temporaire à la guerre, mais comme une autre méthode de transplantation permanente des populations du tiers monde dans les pays de l’UE.
Le 28 novembre dernier à Bruxelles, le Président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker déclarait : « Ouvrons des voies légales pour les migrants qui veulent venir », estimant que l’Europe avait un « besoin évident » de migrations de masse en provenance d’Afrique.
Parlant du sommet UE-Afrique d’avant Noël, lors duquel les dirigeants de l’UE et des pays africains se sont rencontrés pour discuter des migrations, il a aussi déclaré à la radio allemande Deustche Welle que « si nous n’offrons pas de moyens légaux d’émigrer en Europe et d’immigrer à travers l’Europe, alors nous serons perdus » et de rajouter : « Si ceux qui viennent – qui sont, en général, les pauvres et les nécessiteux – ne sont plus en mesure d’entrer dans la maison de l’Europe par la porte d’entrée, ils continueront à entrer par les fenêtres arrière. »
Affirmant que le continent « aura clairement besoin de l’immigration dans les prochaines décennies », il a aussi précisé, à cette occasion, que les pays de l’UE « doivent fournir aux Africains qui veulent venir, et qui peuvent venir, et dont la situation leur permet, des moyens légaux de se rendre en Europe. »
Notant que les personnes d’origine non européenne vivant en Europe sont beaucoup plus susceptibles d’être sans emploi ou à bas salaires, la Commission souligne que des « mesures d’intégration » seraient nécessaires pour accueillir les arrivées qu’elles jugent essentielles aux économies du continent.
Ainsi donc pour Bruxelles, est-il plus urgent que jamais d’accélérer l’arrivée massive de migrants de tout bord, de toutes origines, de toutes motivations, afin de « déblanchir » les peuples européens de cette Europe « trop blanche » ; Jamais racisme contre les peuples européens n’aura été avoué et promu si délibérément, sans risque de poursuite judiciaire,
Ainsi donc pour Bruxelles, l’immigration de masse est-elle une question vitale de survie pour l’Europe, oubliant par-là même que les pays développés qui refusent l’immigration, sont ceux qui la robotisation la plus avancée de leur économie,
Ainsi donc pour Bruxelles, qui laisse clairement tomber le masque, les priorités des peuples européens qui veulent survivre et vivre, ne peuvent en aucune manière être prises en considération, car elles ne s’inscrivent pas dans la marche du monde imposée par la pensée unique et éclairée de l’élite mondiale financiarisée et collaborant à l’invasion généralisée de l’Europe par des forces hostiles,
Ainsi donc pour Bruxelles, il est vital de jouer sur les « peurs » des Européens, de les rabaisser en laissant entendre que le continent ne pourrait résister, parce que l’Homme européen serait devenu historiquement et structurellement faible !
Ainsi donc ceux qui décident pour nous, en catimini et en urgence, contre la volonté des peuples d’Europe, ne veulent plus de limite et accélèrent à n’importe quel prix le processus de désintégration du continent européen, qu’il mènent vers la guerre civile ! Ils jouent délibérément le consommateur mondialisé contre le citoyen enraciné, la mondialisation/immigration contre la nation et les valeurs.
Effrayés par la réaction des peuples et les résultats électoraux en Europe centrale (en Hongrie, en Pologne, en Tchéquie, en Slovaquie et plus récemment en Allemagne et en Autriche), « ils » accélèrent et mettent la vitesse double : ceux sont les mêmes qui, plus tard, stigmatiseront la guerre civile, après avoir attisé les cendres et tout fait pour qu’elle se répande sur le continent européen et déclameront alors : « Nous n’avons pas voulu ça ! Les responsables sont à trouver du côté des peuples, qui n’ont pas voulu s’adapter au “nouveau monde” ! »
Ainsi donc, peu à peu semble se mettre en place, à marche forcée, un plan européen centralisé, promu par l’oligarchie financière et ses affidés : MMM (Merkel-Macron-May), visant à détruire les « ethnies européennes » supports des valeurs et de la culture européenne bimillénaire et à les fondre dans un magma anonyme, sans identité aucune, ce qui, en déstructurant les peuples et les personnes, réduira d’autant leurs capacités de créativité, de spiritualité, de résistance et de combat. De manière accélérée se dessine désormais un plan de destruction/restructuration des nations par des moyens assez prévisibles.
Il importe donc de détruire aussi les « points d’appui » des peuples, l’Histoire, la morale, la religion, la recherche d’une individualité maîtrisée, d’une spiritualité traditionnelle ou renouvelée.
Nous laisserons les derniers mots à Victor Orban, probablement le seul homme d’État européen d’une stature gaullienne : à propos des « réfugiés » : « Ce ne sont pas des réfugiés, mais une force d’invasion musulmane »… « 2018 sera l’année de réaffirmation de la volonté du peuple face à l’immigration »… « L’immigration est devenue “un problème pour la démocratie” car les gouvernants de nombreux pays ne font pas ce que les gens attendraient d’eux concernant l’immigration »… « Le lien entre terrorisme et immigration est évident. »
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