Un coin de cauchemar
On compte sur Terre d’immenses immondices étatiques, des cloaques sociétaux, de grands champs de déchets constitués de sociétés en décomposition dépassée. On pourrait citer le Kosovo, la République turque de Chypre du Nord, la Bosnie-Herzégovine, la Grande-Bretagne, les Pays-Bas, l’Arabie Saoudite, le Koweit, la République tricolore hexagonale, le Canada multiculturaliste ou les États-Unis d’Amérique. Il n’en est rien. Malgré tous leurs défauts exemplaires, les États-Unis pour ne prendre que ce cas précis conservent encore une relative liberté d’expression et le droit fondamental de porter des armes.
L’antichambre avancée d’un monde franchement cauchemardesque se trouve à trois heures environ d’avion de Paris : la Suède. Après avoir ouvert ses frontières aux immigrés clandestins, poursuivi de sa vindicte le dissident australien Julian Assange, presque exclu l’argent liquide des échanges de la vie quotidienne et rétabli le service militaire obligatoire afin d’empêcher une fantasmatique offensive russe, preuve du complotisme aigu délirant qui infecte Stockholm, la Suède s’était assise le jour de Noël 2014 sur ses propres valeurs prétendues démocratiques. Soucieuses d’éviter des législatives anticipées pour le printemps 2015, majorité et opposition concluaient ce jour-là un pacte presque décennal de gouvernement qui ostracisât les Démocrates de Suède, un mouvement qualifié d’« extrême droite », sans que ce bannissement n’indigne les médias pleurnichards.
Le gouvernement minoritaire socialiste – pseudo-écologiste suédois vient d’adopter de nouvelles règles gynocratiques. L’excellent blogue de Lionel Baland nous l’apprend dans une note du 20 décembre dernier. À compter du 1er juillet 2018 s’appliquera dans cette société largement pourrie le « contrat sexuel ». Marié ou non, l’homme devra obtenir de son épouse, de sa maîtresse ou de sa conquête d’un soir l’autorisation explicite d’avoir avec elle des relations sexuelles. Verbal, cet accord aura plus de poids s’il est rédigé. À quand la présence obligatoire de l’avocat, de l’huissier ou du notaire pour y tenir, sinon la cravate, la chandelle ?
Rappelons qu’en 2011, la cour d’appel d’Aix-en-Provence condamna un homme à verser 10 000 euros à sa femme qui remportait aussi le divorce pour avoir manqué à son devoir conjugal pendant plusieurs années, causant ainsi un « dommage considérable » à réparer financièrement. Bref, quoi qu’il fasse, le mâle blanc hétérosexuel va devoir cracher le pognon. Et on sanctionne déjà les clients des prostituées…
Ce n’est pas tout. La législation suédoise va aussi intégrer deux nouveaux délits surréalistes : l’attaque sexuelle par distraction et le viol par distraction. Une femme au matin d’une nuit d’ébats pourra engager des poursuites contre son partenaire si elle change d’avis et regrette d’avoir succombé à ce séducteur ! L’arbitraire et la subjectivité deviennent des éléments déterminants du sale droit suédois !
La tyrannie matriarcale s’épanouit près du Cercle polaire Arctique. La Suède totalement détraquée et dégénérée semble, hélas !, préfigurer le sombre avenir d’une Europe post-historique. Qui osera euthanasier la patrie d’adoption du traître Bernadotte ?
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Cette chronique hebdomadaire du Village planétaire a été diffusée sur Radio-Libertés le 29 décembre 2017.
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