En Suède, les symptômes d’une société qui court à son suicide
La Suède condamne un chef de police qui suggère d’expulser les supporteurs de l’État islamique et poursuit une retraitée qui accuse des migrants d’avoir incendié des voitures
D’une part le système de justice suédois a condamné un chef de police pour avoir demandé l’expulsion du pays des migrants qui appuient l’État islamique après l’attentat terroriste de Stockholm. D’autre part, le même système de justice poursuit pour ‘discours haineux’ une retraitée de 70 ans qui attire l’attention sur les voitures incendiées par des migrants en banlieue de Stockholm. Voilà les symptômes d’une société qui court à son suicide.
Comme (le site) Point de Bascule a eu l’occasion de l’affirmer à plusieurs reprises, notamment durant le débat sur le projet de loi 59, le compromis des sociétés respectueuses des droits individuels est d’accepter que ceux qui favorisent des idées controversées puissent les exprimer tant qu’ils ne prônent pas le recours à la violence pour les faire appliquer. Dans ce cas-ci, le système de justice suédois fait exactement le contraire : il protège les partisans d’une organisation qui encourage ouvertement le recours à la violence pour attaquer les Suédois et leurs institutions et il poursuit pour ses opinions une femme qui ne prône pas la violence.
En février 2017, la BBC/Archive.Today a rapporté que «des émeutiers, certains masqués, ont lancé des roches, incendié des véhicules et volé des commerces dans le quartier Rinkeby où les émeutes sont fréquentes». La BBC précise que Rinkeby est «une banlieue de la capitale Stockholm principalement habitée par des immigrants».
Article paru sur le le site Point de Bascule. Auteur : Virginia Hale. Référence : Breitbart, 14 mai 2017.
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